Le révolutionnaire en peau de lapin Méluche vient donc de se déclarer candidat à la présidentielle de 2017. Ce pitre maçonnique et inepte goret échappé de la soue socialiste, ancien ministre, ancien sénateur, député européen, se voit un destin. Telle une incoercible diarrhée, il se répand dans nos merdiques médias, avides de recueillir son avis, de la croisette où il se fait le défenseur du petit personnel invisible, aux émissions comme « des paroles et des actes » où on le vit pérorer face à Darmanin qu’il couvrit d’éloges dans une magnanimité de futur César. Il n’a plus besoin, ni du front de gauche, ni du PC, il est le détenteur de la Vérité qu’il aura polie au sein de la loge « Saloperie et Crevure » à l’orient de mes couilles.
Ce guignol oublie une chose, que les journaputes se gardent bien de lui rappeler. Il fût un chantre enamouré d’Hugo Chavez, dont il parlait les sanglots dans la voix et l’érection dans le slip. Reprenons ce que disait celui qui prétend un jour diriger la France:
« Politiques sociales, investissements publics, nationalisations, réforme agraire, plein emploi, salaire minimum, impératifs écologiques, accès au logement, droit à la santé, à l’éducation, à la retraite… Chavez s’est également attaché à la construction d’un Etat moderne. Il a mis sur pied une ambitieuse politique d’aménagement du territoire: routes, chemins de fer, ports, barrages, gazoducs, oléoducs. » avait-il proclamé dans un article du Monde.
Et après la mort de son héros: « Moi je dis, et ça pourra m’être reproché, le monde gagnerait à avoir beaucoup de dictateurs comme Hugo Chavez puisqu’on prétend que c’est un dictateur. Il a pendant ces 14 ans respecté les droits de l’Homme ».
Le résultat en 2016 est sans appel. La politique clientéliste et irresponsable basée sur une redistribution de la manne pétrolière s’est écroulée avec le cours du brut. Le pays est ruiné, sa population au bord de la famine et de la guerre civile (lire ICI).
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Cela empêche-t-il l’autre guignol de pérorer? Bien sûr que non. Qu’ils s’en aillent tous, avait-il proclamé. Ok, mais à commencer par toi, abruti!
lenonce