INVICTUS !

Assez parlé des untermensch au pouvoir en France, ceux qui vont se prendre une nouvelle branlée demain, oubliez les petits flasques et les petits aux sourcils froncés: place aux géants !

Leur branlée sera à l’ égale de celle subie aujourd’hui par les sarrasins britanniques, tant vantés par nos médias parisiens, et réduits à néant par les héros toulonnais:

RCTMerci à eux,

lenonce

Tin: tiens un con gros !

Décidément, la présidence de l’homoncule Hollande aura décomplexé non seulement la droite, mais aussi cette immense catégorie que s’ attache à combattre avec ses faibles moyens ce site confidentiel réservé à une élite, élite qui par ses commentaires pertinents tire l’ auteur de ces lignes de sa procrastination naturelle, je veux parler bien évidemment des cons (je fais des phrases longues parce que je suis en train de lire Proust).

Capture d’écran 2014-05-11 à 15.27.46

Ainsi, chaque jour un con chasse l’autre. Celui du jour, introduit par un jeu de mots à l’ attention directe de Dominique, fait en ce moment feu de tout bois, attaquant Zemmour et Mariani, et voulant maintenant faire payer les familles et banques bordelaises pour leur rôle dans l’ esclavage.

Du grand n’ importe quoi.

Ce qui est consternant, ce n’ est pas leur demande, ils sont dans leur rôle, mais le fait qu’ ils se sentent autorisés à de telles inepties. Ces associations communautaristes ne devraient pas exister, et je serais curieux de connaitre leur financement, et combien de mes picaillons servent à engraisser ( à voir la photo, ça marche ) ce ramassis de connards.

Si quelqu’ un a la réponse ?

lenonce

Jouons un peu avec notre con du jour …

… j’ai nommé Vincent Peillon, pitre prétentieux et surdiplomé, ex-médiocrissime ministre de l’éducation nationale, qui voulait refonder l’école et qui s’est fait botter le fondement après les municipales, mais qui sera, à l’instar de l’ex-délinquant Désir, quoique en sens inverse, recasé comme député européen.

Lisez cette phrase sublime par laquelle il prétend exister, tordez-vous de rire, et prenez-la comme modèle pour décrire d’ autres situations. Vous verrez, elle sert pour tout:

Le pire ennemi de la République, c’est la paresse des républicains, la lâcheté des citoyens et la complaisance des démocrates.

Ça envoie, non?

Je vous propose, pour amorcer:

Le pire ennemi du transit intestinal, c’ est la paresse colique, la lâcheté des sphincters et la complaisance des gastroentérologues.

A vous !

lenonce