Ainsi donc, dans un ultime sursaut, l’ équipe censée représenter la France aura eu raison du Togo, qui, après avoir tenu toute une mi-temps, s’ incline sur le score honorable de 2-0. Rappelons que cette équipe, à l’ exception d’ Adebayor, évolue à un niveau se situant entre la deuxième division et la division d’ honneur.
A la fin du match, malgré la déception, les togolais interrogés souhaitaient bonne chance à la France pour la suite de la compétition. Un habitant de Lomé confiait dans un sourire attendri: " Car la France c’ est un peu notre papa !".
Coté français, ni le sélectionneur, ni les joueurs, ni les supporters, n’ auront eu un mot envers cette minuscule et valeureuse équipe: j’en ai eu honte!
D’ abord les joueurs, (noirs en majorité), bourrés aux as, prétentieux à n’ en plus pouvoir, à l’ image de Thierry Henri avec sa main sur l’ oreille attendant les ovations, pour ne rien dire de Thuram(!), et se félicitant tous d’ avoir si bien redressé la situation. Comme si un grand maître international d’ échecs se vantait d’ avoir battu le champion de la Creuse ( et j’ ai rien contre la Creuse!). Et que dire d’ un zizou, commettant volontairement lors de France-Corée, une faute qui le privait du match peut-être responsable de l’ élimination de son équipe: magnifique professionnalisme!
Ensuite les supporters, (blancs en majorité), décérébrés peinturlurés, éructant des jeux de mots hilarants sur les Eperviers, se voyant déjà en finale, et pourquoi pas champions du monde!
Au milieu l’ entraineur. Franchement, l’ un d’ entre vous comprend-t-il les explications que nous sert Domenech après chaque match avec son air d’ intellectuel commentant Heidegger ? Et pas un journaliste pour lui dire: "On comprend rien mon con, recommence !"
Oh non mais amis, le racisme n’ a aucun fondement: noirs et blancs sont capables de communier dans la même connerie universelle! Et le meilleur argument contre la migration des peuples africains reste celui-ci:
Restez chez vous. La France n’ est plus le creuset dans lequel vous souhaitez vous fondre mais un chaudron puant, bientôt confié à la babayaga socialo, où vous serez impitoyablement broyés et dénaturés.
Lenonce