Le Crapouillot

jean-boizeau-le-crapouillot-n-48-special-photos-defendues-livre-862271228_LEn regardant la photo du pervers Sapin et sa tête de nœud, il m’est revenu, par une succession d’associations d’idées dont mon cerveau malade a le secret, un numéro spécial du Crapouillot, paru en 1978, et intitulé « Photos défendues ».

Qui se souvient du Crapouillot? C’était un périodique satirique, dont l’origine débuta dans les tranchées (d’où le nom, qui fait référence aux mortiers de tranchées) pour s’arrêter de paraitre en 1996. A partir de la fin des années 60, il sera de plus en plus marqué à droite, voire à l’extrême-droite, et sera d’ailleurs racheté par Minute. lire ICI.

Je me souviens de plusieurs photos de ce numéro, que la magie d’internet m’a fait retrouver, par exemple celle d’un Michel Simon hilare et la nouille à l’air, posant fièrement encadré de deux jeunes femmes.

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Mais surtout celle-là, qui ne pouvait que laisser rêveur le jeune mâle blanc hétérosexuel que j’étais …

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lenonce

Le gros Sapin a le bambou

sapin a le bambou

A la fin de ce quinquennat, y aura-t-il quelque chose que l’équipe de tocards en place nous aura épargné? Il se pourrait bien que non, tant on se croirait à un concours.

Conseil des ministres:

 » Bon, la fraude fiscale c’est fait, le cireur de pompes à l’Elysée, c’est fait, la phobie administrative, c’est fait, la courbe des glandus qui monte au lieu de descendre c’est fait, donc j’attends vos propositions. Allez les gars, un petit effort, c’est presque fini. Oui Michel, quoi, tu veux pécho une journaliste, et lui tirer la culotte? Original ça, je sens que ça va bien passer. Allez, on l’encourage ! »

 » Sapin, la culotte, Sapin, la culotte, Sapin, la culotte! Allez, tous en cœur: Mon gros Sapin, roi des gorets, lalalalalalala …. »

lenonce

 

Qu’il est dur pour un gauchiste de devenir patron !

Ces gauchos sont extraordinaires. Sans responsabilité, ils n’ont pas de mots assez durs pour fustiger les entreprises et les patrons. Donnez-leur le pouvoir, et ils se conduiront comme les plus féroces des rapaces. Un peu comme si vous sortez un trappiste du monastère pour l’amener au bordel en le laissant libre de niquer tout ce qui bouge.

Regardez les rigolos brésiliens, Salope et Lula. Ils ont bâti leur célébrité sur la défense des plus pauvres, mais une fois au pouvoir, c’est open-bar. Comme s’ils voulaient rattraper le temps perdu ou se dédommager d’être gentils avec les gueux, ils deviennent alors les pires des corrompus.

Voyez l’autre rigolo à pipe, Michel Field. J’ai toujours entendu ce type, à qui je reconnais une certaine intelligence, vomir sur la droite, les patrons et la finance. Au terme d’une magouille en cascade de moi-président (Schramek-Ernotte-Field), le voici patron de France télévision. Il devient alors le plus détestable des dirigeants: arrogant, méprisant, bref, insupportable.

Le pouvoir rend fou les gauchos, c’est pourquoi il ne faut pas le leur laisser. La seule chose que cet abruti n’aura pas comprise est celle-ci: quand on dirige, on ne s’excuse jamais …

lenonce

Capture

Un certain malaise ….

valls algeriePour les algériens qui continuent de réclamer des excuses de la part des anciens colonisateurs, cette photo pathétique pourrait leur suffire.

Je ne sais pas ce qui est le plus dérangeant: la différence de taille entre le nervi catalan et le colosse de l’atlas, le sourire niais de Valls à côté de l’assurance teintée d’arrogance du premier ministre algérien, la présence du drapeau européen (?) comme s’il fallait atténuer l’importance du drapeau français, le fait (non visible sur la photo) que Valls n’ait absolument pas protesté contre le refus de visas aux journalistes.

Encore et toujours, nos dirigeants vont s’humilier devant leurs homologues d’un régime corrompu et à bout de souffle, « dirigé » par un pantin à demi-mort, mutique quoique baveux. Chaque jour amène son lot d’infamie, et je ne suis pas sur que cela s’arrête en 2017 …

lenonce

Trierweiler, playmate du mois!

trierweiler dskLe ridicule n’ayant plus tué depuis l’élection de la tâche de graisse qui squatte l’Élysée, voilà que resurgit la pseudo-journaliste-mais-vraie-pouf, incroyablement rajeunie après avoir sacrifié trois fœtus un soir de pleine lune et s’être enduite la face d’un broyat de leurs cordons.

En matière d’homme, elle a toujours un goût de chiotte, en témoigne l’improbable croisement de DSK et de Jabba the Hutt souriant tous dentiers dehors à ses côtés.

Mais surtout, qui s’intéresse encore à cette pimbêche mal gracieuse, suffisamment pour qu’un magazine d’investigation du niveau de VSD en fasse sa une? Non, vraiment, je ne vois pas …

lenonce