7 réflexions sur “Mon accent, par les Pères Verts peppers”
Ceci n’a rien à voir avec cela, mais j’vais pas m’gêner …
Géographie:
– il existe dans l’Oise une commune bien nommée Choisy-au-Bac …
Vue la manière dont le « bac » est désormais quasiment distribué c’est amusant0
– et à Séné dans le Morbihan, qui connait la rue Barbe ?
– la Syrie est un pays austère, avec peu de bouleaux ou de charmes et où il se fait du petit bois des opposants car les hêtres y comptent peu non plus
– y’aurait-il un lien entre les Bahamas et un certain mouvement proche-oriental ?
Que vivent les accents !
Ils se perdent un peu hélas…
Point trop de gravité avec les accents, ni trop d’aigu dans nos jugements ; il y a des inflexions, des courbures, pour ne pas dire des formes circonflexes qui demandent plus de subtilités dans nos discernements.
Et puisque notre hôte consent à quelques miettes jetées négligemment à ces assficionados, témoignons en retour notre béate gratitude par quelques offrandes, à l’instar :
Je me rappelle avoir lu en cachette, dans mon jeune âge, un joli petit livre que mes parents serraient caché dans la bibliothèque, qui était une biographie de Joseph Pujol, dit le pétomane.
Livre écrit par Jean Nohain (info retrouvée sur wikipédia).
Bonjour Lenonce, puis je te conseiller un petit roman, écrit par Serge Gainsbourg « Evgénie Sokolov », sarcastique, drôle pour raconter le destin le plus insolite que l’on puisse imaginer…
« Ainsi, me disais-je dans l’obscurité de la nuit alors qu’en vain je cherchais le sommeil, les pestilences prémonitoires de ma mort corporelle allaient servir à véhiculer et transcender ce qu’il y avait de plus pur, de plus vivace et de plus désespérément ironique dans le tréfonds de mon esprit créatif, et après tant d’années vouées à la technique picturale, tant de jours passés à émettre mes gaz face aux cimaises d’où irradiait le génie des grands maîtres, ces lignes brisées frêles et tortueuses venaient de me débarrasser à jamais de mes inhibitions… »
Sourire
Cruella: je ne connaissais pas le roman, mais la chanson, toute en finesse:
Ceci n’a rien à voir avec cela, mais j’vais pas m’gêner …
Géographie:
– il existe dans l’Oise une commune bien nommée Choisy-au-Bac …
Vue la manière dont le « bac » est désormais quasiment distribué c’est amusant0
– et à Séné dans le Morbihan, qui connait la rue Barbe ?
– la Syrie est un pays austère, avec peu de bouleaux ou de charmes et où il se fait du petit bois des opposants car les hêtres y comptent peu non plus
– y’aurait-il un lien entre les Bahamas et un certain mouvement proche-oriental ?
Que vivent les accents !
Ils se perdent un peu hélas…
Point trop de gravité avec les accents, ni trop d’aigu dans nos jugements ; il y a des inflexions, des courbures, pour ne pas dire des formes circonflexes qui demandent plus de subtilités dans nos discernements.
Et puisque notre hôte consent à quelques miettes jetées négligemment à ces assficionados, témoignons en retour notre béate gratitude par quelques offrandes, à l’instar :
Je me rappelle avoir lu en cachette, dans mon jeune âge, un joli petit livre que mes parents serraient caché dans la bibliothèque, qui était une biographie de Joseph Pujol, dit le pétomane.
Livre écrit par Jean Nohain (info retrouvée sur wikipédia).
Bonjour Lenonce, puis je te conseiller un petit roman, écrit par Serge Gainsbourg « Evgénie Sokolov », sarcastique, drôle pour raconter le destin le plus insolite que l’on puisse imaginer…
« Ainsi, me disais-je dans l’obscurité de la nuit alors qu’en vain je cherchais le sommeil, les pestilences prémonitoires de ma mort corporelle allaient servir à véhiculer et transcender ce qu’il y avait de plus pur, de plus vivace et de plus désespérément ironique dans le tréfonds de mon esprit créatif, et après tant d’années vouées à la technique picturale, tant de jours passés à émettre mes gaz face aux cimaises d’où irradiait le génie des grands maîtres, ces lignes brisées frêles et tortueuses venaient de me débarrasser à jamais de mes inhibitions… »
Sourire
Cruella: je ne connaissais pas le roman, mais la chanson, toute en finesse:
Je sais, il n’y a pas de rapport … quoique