2010: le con d' alors s' appelait, entre autres, Laurent Mucchielli, sociologue de mes deux, et n' avait pas de mots assez durs pour fustiger le ministre de l' Intérieur de l' époque, Brice Hortefeux. Ce pitre malhonnête vomissait à l' égout Rue89, vomissure immédiatemment relayée par les blogs socialos, comme celui que vous pouvez lire (en vous bouchant le nez) ici: http://lalettredejaures.over-blog.com/article-delinquance-roumaine-des-chiffres-contredisent-hortefeux-56444214.html
Tout ce que disait le ministre de ce gouvernement honni, rappelant les heures les plus sombres, etc, etc, … était nul et non avenu, un tissu de mensonges, et il vous le démontrait par grand 1 et grand 2.
2012: les socialistes sont au pouvoir ( oui, oui, moi aussi ça me fait bizarre …. ), et que dit Manuel Valls, le sémillant ibérique ministre de l' Intérieur:
L' intoxication, le mensonge et l' incitation à la xénophobie ont cédé la place à une réalité incontestée.
Je suis curieux de savoir ce qu' en pense maintenant ce bouffon de Mucchielli …
lenonce
UN EN-CHAN-TE-MENT !!
J’ai un -( vieux)-pote, aujourd’hui probablement désabusé, dont l’expression de conclusion était : « On décroche le fusil ». Le fameux masque d’humour maquillant le désespoir.
Je connais -( j’ai connu plutôt )- deux cas d’école de cette population non qualifiable dans nos repères : un camp à proximité de Nantes – malheureusement la pas-jolie de nos jours –
et l’hallucinante ceinture installée autour de Disney – -( parc d’attraction = touristes = argent liquide = relâchement =etc etc ainsi bien évidemment que les stocks d’objets commercialisables Le cambriolage de station-service pour faucher les gadgets revendus assez cher est aussi un classique.).
On reste là dans l’anecdotique, au demeurant. Le hard est beaucoup plus dramatique.
Pour le réel, le fameux fusil est jouable face à Mucchielli. L’indifférence ne suffit…
» … si le silence est notre thérapie, condoléances à tous les mariachis … »
Wenn ich Kultur höre…
Allez les mecs, un peu de courage, appuyez sur la gâchette, vivement que les armes soient en vente libre, comme aux USA!
Cher Jeanf, je me suis sans doute mal fait comprendre. L’image du fusil est l’expression d’une » désespérance » totale.
Dans les faits, les roms – qui n’ont rigoureusement rien à voir avec nos « gens du voyage » sont la vitrine de la misère absolue. Et donc, de la déshumanisation toute aussi absolue.
Sommes nous capables de les assumer ? Je peux vous répondre : non.
C’est aussi élémentaire et infect, je vous le concède, que cela…
Cher cousin Pons, il est difficle de discerner la part de racisme et d’intolérance véhiculée par chacun. Il faut reconnaître que, pour la plupart d’entre nous, si nous réagissons avec humanité à la désespérance de certains peuples, de certaines races, nous sommes cependant incapables de les supporter dans notre entourage immédiat. Il est ainsi des gens que nous voudrions aimer mais que nous ne pouvons que rejeter ; comme il y a des gens que nous voudrions haïr, parce qu’ils nous font souffrir, et que nous ne pouvons nous empêcher d’aimer. C’est là que se situe un noeud douloureux de notre quotidien. Mais ainsi va la vie, n’est-ce pas ?