Je viens d' apprendre que cette petite gouape, élu au conseil de Paris en 2008, était le roi de l' absentéisme. Il a du démissionner en novembre 2010, après un an d' absence, car une élue UMP avait rendu publique ce qui est l' équivalent d' un emploi fictif payé grâce aux impôts des parisiens. lire ici
Pour info, un membre du conseil de Paris touche 4.800 euros bruts mensuels …
Que ce soit ce personnage qui se soit senti la vertu suffisante pour s' attaquer à Depardieu est prodigieux, et dans la ligne de ce que j' écrivais récemment ici.
D' un côté un artiste prestigieux qui fait ce qu' il veut de l' argent qu' il a gagné, de l' autre une fiotte médiocre subventionnée par la gauche bobo: faites votre choix !
lenonce
Merci de le signaler, il y a tant et tant…
Ces bulles qui viennent crever à la surface du lisier socialiste, phénomène sans cesse renouvelé,sont peut être l’un des révélateurs de la fin de notre « civilisation ».
Et si l’on parlait de Rachida Dati… ?
@ GuyLiguili: il me semble que Lagarde brillait aussi par son absence ….
C’ est moins l’absence que je dénonce, que cette propension à donner des leçons chez les gauchos.
Merci au suffrage universel qui donne le même pouvoir de choix de société à chacun ; chapeau bas à cette société qui convoque johnny & torreton & cie à la tribune pour débattre de Morale.
On a les maîtres à penser que l’on mérite.
Outrager les poncifs, déplaire aux foules, dernières satisfactions avant de disparaître.
L’essentiel est d’apprendre à perdre.
Un regret toutefois ; la médiocrité de nos détestations en rapport avec celle de leurs objets.
@dropze : Nos détestations médiocres ? les Torreton et consorts ne sont que les boutons purulents d’un mal beaucoup plus profond qui touche de plein fouet la société occidentale en générale et la française en particulier. Il ne faut pas sous estimer ce mal.
» Il me manque encore quelques haines. Je suis certain qu’elles existent. »
@geronte : ils triomphent parce qu’ils sont le nombre. Voilà le règne gluant de l’immédiateté plus de l’instant présent, de la consommation plus que de la possession ; un prix plus que de la valeur, des complices plus que des compagnons. En tout cas de mauvais compagnons.
« Mea Culpa », mon bon docteur !
« Jamais depuis le temps biblique ne s’était abattu sur nous fléau plus sournois, plus obscène, plus dégradant à tout prendre, que la gluante emprise bourgeoise. Classe plus sournoisement tyrannique, cupide, rapace, tartufière à bloc ! Moralisante et sauteuse ! Impassible et pleurnicharde ! De glace au malheur. Plus inassouvible ? plus morpione en privilèges ? Ça ne se peut pas ! Plus mesquine ? plus anémiante ? plus férue de richesses plus vides ? Enfin pourriture parfaite. »
Je m’étonne que Ditch n’ait pas surenchéri ainsi sur Dropze :
« Le bourgeois ne se dissipe pas, il se remplit. Il n’aime pas, il s’approprie. Il n’éjacule pas, il retient. »
Jeanne, je n’ai pas osé…ses derniers commentaires m’avaient un peu effrayé…?!