Les démêlées de ce syndicat de crevures et de leur leader sont du miel pour votre serviteur qui a ouvert ce blog en 2005 suite aux conflits sociaux du port autonome.
Comme je le souhaite de tout mon cœur, la SNCM va couler et je me réjouis à l’ avance des pleurs des leaders syndicaux. Mais en attendant, savourons la faillite de cet inénarrable abruti sorti de nulle part après Thibault-les-belles-oreilles, et pris la main dans le pot de confiture, Thierry Lepaon. Déjà, faire une carrière syndicale en s’ appelant comme ça est balèze, mais claironner dans la presse qu’ on n’ est pas un rat relève du prodige !
Donc, si Lepaon n’ est pas un rat, qu’ est-ce que c’ est ? A vous de répondre, et voyons combien de temps « LeratLepaon » va tenir sur sa planche pourrie ….
lenonce
Cousins éloignés des pintades et des dindons et parents plus proches des faisans, les paons peuplaient au tertiaire une bonne partie de l’Ancien et du Nouveau Monde. Depuis, en Europe et en Amérique, où le paon bleu a été introduit par l’homme, on ne peut admirer la longueur et l’extravagance de la queue des mâles qu’en captivité. (source: encyclopédie Larousse en ligne).
La c’est pas l’homme qui a introduit Lepaon (roué) mais plutôt l’inverse …
Et les CGTistes sont les dindons de la farce de ce malfaisant !
Pour lequel c’est plutôt « La roue de la fortune ».
Qu’il ne quitte surtout pas le navire, ainsi il coulera avec !
« Rats are leaving the Sinking ship », par Balthazar, groupe belge déjanté : http://youtu.be/rwMOBKfimyA
Lepaon ferait-il l’autruche !
Comme il se dit en Hongrie: il est à jeter aux Horty …
Je m’arrête ici pour avoir la joie rare de commenter dans ce blog, mais je ne sais pas quoi écrire, juste dire que j’ai la joie (mensuelle) de mettre un commentaire sous un billet (mensuel) chez Lenonce. Tirer une fois par mois ce n’est pas énorme, je suis obligé de m’en contenter.
GG, une fois par mois, mais c’est génial ! Pense que la journée de l’orgasme a lieu une fois l’an… heureusement c’est imminent !
Tu me souffles ma résolution 2015: « être assidu comme GG » !
Certains n’ont même pas une Fischer par mois !…
Je n’ai pas la même vision des syndicalistes que le taulier ou des autres commentateurs mais je dois reconnaitre que ce Lepaon est un vrai con à éjecter.
Qu’il soit à éjecter, on est d’accord. Mais comment est-il arrivé à ce poste??
Ejecter ? Ah non, il serait capable de demander des primes de déménagement et de licenciement !…
Un Paon muoit ; un Geay prit ſon plumage ;
Puis aprés ſe l’accommoda ;
Puis parmy d’autres Paons tout fier ſe panada,
Croyant eſtre un beau perſonnage.
Quelqu’un le reconnut ; il ſe vit bafoüé,
Berné, ſifflé, moqué, joué ;
Et par Meſſieurs les Paons plumé d’étrange ſorte :
Meſme vers ſes pareils s’eſtant refugié
Il fut par eux mis à la porte.
Il eſt aſſez de Geais à deux pieds comme luy,
Qui ſe parent ſouvent des dépoüilles d’autruy :
Et que l’on nomme plagiaires.
Je m’en tais ; & ne veux leur cauſer nul ennuy ;
Ce ne ſont pas là mes affaires.
Si ce n’est le rat, c’est bien un faisan, Lepaon !
LE PAON SE PLAIGNANT A JUNON
Le Paon se plaignait à Junon.
Déesse, disait-il, ce n’est pas sans raison
Que je me plains, que je murmure ;
Le chant dont vous m’avez fait don
Déplaît à toute la Nature :
Au lieu qu’un Rossignol, chétive créature,
Forme des sons aussi doux qu’éclatants,
Est lui seul l’honneur du printemps.
Junon répondit en colère :
Oiseau jaloux, et qui devrais te taire,
Est-ce à toi d’envier la voix du Rossignol ?
Toi que l’on voit porter à l’entour de ton col
Un arc-en-ciel nué de cent sortes de soies ;
Qui te panades, qui déploies
Une si riche queue, et qui semble à nos yeux
La boutique d’un Lapidaire ?
Est-il quelque Oiseau sous les cieux
Plus que toi capable de plaire ?
Tout animal n’a pas toutes propriétés.
Nous vous avons donné diverses qualités :
Les uns ont la grandeur et la force en partage ;
Le Faucon est léger, l’Aigle plein de courage,
Le Corbeau sert pour le présage,
La Corneille avertit des malheurs à venir :
Tous sont contents de leur ramage.
Cesse donc de te plaindre, ou bien pour te punir
Je t’ôterai ton plumage
Chère Phèdre,
et pourtant lui aussi mangera les pissenlits par la Racine …