J’écoutais ce soir, dans une des rares émissions regardables du petit écran, » C’est dans l’ air « , ce gauchiste prétentieux de Roland Cayrol défendre becs et ongles le couple exécutif. J’ ai alors compris que l’ heure était grave pour nos deux guignols, surtout quand un des intervenants a qualifié Valls de » grand communicant « . Nicand, je sais pas, mais niqué, il vient de l’ être, et profondément, en perdant son fief de l’ Essonne, celui ou il voulait rajouter quelques » blancos ».
El Cretinador est perdu, il débite l’ œil rond et le sourcil froncé, des litanies qu’ il n’ affecte même plus de croire. C’ est un poulet sans tête qui court encore un peu en zigzag avant de s’ écrouler de tout de son long dans la fiente. Dépassé par la fonction, confronté à son incompétence et à l’ absence de résultat, le voilà tapi comme un lapin pris dans les phares.
La réalité, que s’ acharnent à minimiser nos merdiques médias, ainsi que le gros con d’ en face, l’ impayable Jégou, dans sa dernière note se réclamant du second degré mais usant des mêmes arguties fournies par ses Maîtres, la réalité donc, est la suivante: jamais un parti n’ a perdu autant de départements !
Les Bouches du Rhône passent à droite, pour la première fois depuis la Libération, et le Nord, et les Côtes d’ Armor, et la Corrèze de l’ autre pignouf, mais surtout, surtout, l’ Essonne est perdu pour celui qui revendique s’ être investi à fond dans la campagne.
Tu as PERDU, impayable abruti, et tu continueras à perdre, car tel est le sort que t’ a réservé ton patron en te maintenant à ton poste histoire de te griller définitivement pour 2017.
lenonce
La mine déconfite de l’affreux Jérôme Guedj, « au bord de larmes » dimanche soir, fut l’un des rares moments réjouissants de cette soirée électorale. « On peut pas continuer pareil » (sic)… Oui, vivement la suite. Mais pour moi, un tiers des départements c’est encore beaucoup trop pour le péhesse.
Il a perdu Etampes et plus …