17 réflexions sur “Oh François, si tu veux te suicider, prends un pistolet, ça ira plus vite!”
Je ne souhaite qu’une chose : que le candidat de la droite à peu près présentable depuis des lustres se relève de ce chausse-trappe sans trop de dégâts.
Ah ben non alors, à poil le tricheur / menteur
Quelle misère !
Pas besoin de pistolet, les médias sont en train d’organiser la curée, sa fin n’est pas lointaine… et ensuite ?
… et ensuite ? Le Duc d’Anjou ! Montjoie ! Saint Denis !
Sinon ce sera Marion la néo-maurrassienne, ie une « pseudomonarcho-catho-présidentielle moderne » sans âme ni vergogne, quoique ce regard qui crie « braguette » soit de bon aloi …. surtout chez une « catho-prato » Humm ! la saveur de la transgression …
De profundis morpionibus, de Messine à Camaret, foi de Dudule et chemin faisant des tire-bourses, fesse-mathieux et autres presse-couilles :
» Etre moderne, c’est bricoler dans l’incurable »
Vous avez le bonjour d’Emil, disparu trop tard quand on est un nihiliste suicidaire et trop tôt pour nous livrer encore quelques syllogismes amers et savoureux.
Ps : oncques m’a été donné les mensurations de Marion Marechal-Nousvoilà-Lepen ? Les plans « américains » à la TV c’est bien, mais cela ne nourrit pas la réflexion du suffrage universel. En tout cas pour un vrai de vrai de la démocrassie & abstractions faites des approximations coïtales de nos plus dignes représentants, présents et passés, à la présidence de la gueuse, qui porte depuis quelques décennies son nom de façon juste et parfaite.
Le nombre est un tyran stupide et inique.
RePs : nous avons pâtis d’un silence bloguesque pesant autant que funeste le 21 janvier : souhaitons un article mémoriel le 06 février, mais espérons dans le même temps que notre hôte, bubon chafouin, se fende d’un article le-dit jour sur la recette du Klug ou des doubitchous.
Social-traître ou libre-penseur, nous domestiquerons ta rondelle, Lenonce vénéré ! Fais pas ton étroite !
Voilà, j’ai fini (le Saint-Jo, pas mes emportements phatiques).
DPMO
Si tu n’as plus de St Jo,
Fais donc pleurer ton banjo
Si tu recherches l’oubli
Quoi de mieux qu’un bon Chablis
Si tu crois en la Sira,
Interdis-toi toute syrah
Si tu t’prétends soûlographe,
Ignore le Vieux Télégraphe
Mais pour bien te suicider
Vaut mieux un bon pistolet
« Déllivrance » ou « Décadence » ?
Quel maladroit!
une vraie cata !!
Une femme, deux fils, trois raisons de boire la tasse
“Ce n’est pas la peine de se tuer puisqu’on se tue toujours trop tard”
Et de toute façon, avant de se suicider, il est bon de se confesser, non ? Quoique… L’Eglise catholique considérant le suicide comme un péché, il n’aura pas droit au Ciel. C’est ballot !
“La démocratie c’est la révolution couchée, et qui fait ses besoins dans ses draps.”
Fi des démocrasseux, je ne vois guère de républicains candidats à la présidentielle et depuis belle lurette !
“Tout le monde veut gouverner, personne ne veut être citoyen. Où est donc la cité ?”
Une dédicace spéciale à ce (trop) cher député du Rhône : le fenech aboie, mais la caravane passe.
Nous voilà bien loin du renard des sables du Petit Prince :
« Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde. »
Au risque de désobliger, je pense plutôt que Saint-Ex est « bien loin » du Réel ; à sa décharge il faut reconnaître qu’il a toutefois pris le parti de finir au plus près de la réalité maritime.
Une petite pour la route des déistes :
Tiger Tiger, burning bright,
In the forests of the night;
What immortal hand or eye,
Could frame thy fearful symmetry?
In what distant deeps or skies.
Burnt the fire of thine eyes?
On what wings dare he aspire?
What the hand, dare seize the fire?
And what shoulder, & what art,
Could twist the sinews of thy heart?
And when thy heart began to beat,
What dread hand? & what dread feet?
What the hammer? what the chain,
In what furnace was thy brain?
What the anvil? what dread grasp,
Dare its deadly terrors clasp!
When the stars threw down their spears
And water’d heaven with their tears:
Did he smile his work to see?
Did he who made the Lamb make thee?
Tiger Tiger burning bright,
In the forests of the night:
What immortal hand or eye,
Dare frame thy fearful symmetry?
8 Février… et ça ne s’arrange pas !
PDM, perche tendue, perche saisie !
Little Lamb who made thee
Dost thou know who made thee
Gave thee life & bid thee feed.
By the stream & o’er the mead;
Gave thee clothing of delight,
Softest clothing wooly bright;
Gave thee such a tender voice,
Making all the vales rejoice!
Little Lamb who made thee
Dost thou know who made thee
Little Lamb I’ll tell thee,
Little Lamb I’ll tell thee!
He is called by thy name,
For he calls himself a Lamb:
He is meek & he is mild,
He became a little child:
I a child & thou a lamb,
We are called by his name.
Little Lamb God bless thee.
Little Lamb God bless thee.
» There are more things in heaven and earth, Horatio, than you’ve even dreamed of. «
L’Enfer — aussi exact qu’un procès-verbal;
Le Purgatoire — faux comme toute allusion au Ciel;
Le Paradis — étalage de fictions et de fadeurs…
La Trilogie de Dante constitue la plus haute réhabilitation du diable qu’ait entreprise un chrétien.
Je ne souhaite qu’une chose : que le candidat de la droite à peu près présentable depuis des lustres se relève de ce chausse-trappe sans trop de dégâts.
Ah ben non alors, à poil le tricheur / menteur
Quelle misère !
Pas besoin de pistolet, les médias sont en train d’organiser la curée, sa fin n’est pas lointaine… et ensuite ?
… et ensuite ? Le Duc d’Anjou ! Montjoie ! Saint Denis !
Sinon ce sera Marion la néo-maurrassienne, ie une « pseudomonarcho-catho-présidentielle moderne » sans âme ni vergogne, quoique ce regard qui crie « braguette » soit de bon aloi …. surtout chez une « catho-prato » Humm ! la saveur de la transgression …
De profundis morpionibus, de Messine à Camaret, foi de Dudule et chemin faisant des tire-bourses, fesse-mathieux et autres presse-couilles :
» Etre moderne, c’est bricoler dans l’incurable »
Vous avez le bonjour d’Emil, disparu trop tard quand on est un nihiliste suicidaire et trop tôt pour nous livrer encore quelques syllogismes amers et savoureux.
Ps : oncques m’a été donné les mensurations de Marion Marechal-Nousvoilà-Lepen ? Les plans « américains » à la TV c’est bien, mais cela ne nourrit pas la réflexion du suffrage universel. En tout cas pour un vrai de vrai de la démocrassie & abstractions faites des approximations coïtales de nos plus dignes représentants, présents et passés, à la présidence de la gueuse, qui porte depuis quelques décennies son nom de façon juste et parfaite.
Le nombre est un tyran stupide et inique.
RePs : nous avons pâtis d’un silence bloguesque pesant autant que funeste le 21 janvier : souhaitons un article mémoriel le 06 février, mais espérons dans le même temps que notre hôte, bubon chafouin, se fende d’un article le-dit jour sur la recette du Klug ou des doubitchous.
Social-traître ou libre-penseur, nous domestiquerons ta rondelle, Lenonce vénéré ! Fais pas ton étroite !
Voilà, j’ai fini (le Saint-Jo, pas mes emportements phatiques).
DPMO
Si tu n’as plus de St Jo,
Fais donc pleurer ton banjo
Si tu recherches l’oubli
Quoi de mieux qu’un bon Chablis
Si tu crois en la Sira,
Interdis-toi toute syrah
Si tu t’prétends soûlographe,
Ignore le Vieux Télégraphe
Mais pour bien te suicider
Vaut mieux un bon pistolet
« Déllivrance » ou « Décadence » ?
Quel maladroit!
une vraie cata !!
Une femme, deux fils, trois raisons de boire la tasse
“Ce n’est pas la peine de se tuer puisqu’on se tue toujours trop tard”
Et de toute façon, avant de se suicider, il est bon de se confesser, non ? Quoique… L’Eglise catholique considérant le suicide comme un péché, il n’aura pas droit au Ciel. C’est ballot !
“La démocratie c’est la révolution couchée, et qui fait ses besoins dans ses draps.”
Fi des démocrasseux, je ne vois guère de républicains candidats à la présidentielle et depuis belle lurette !
“Tout le monde veut gouverner, personne ne veut être citoyen. Où est donc la cité ?”
Une dédicace spéciale à ce (trop) cher député du Rhône : le fenech aboie, mais la caravane passe.
Nous voilà bien loin du renard des sables du Petit Prince :
« Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde. »
Au risque de désobliger, je pense plutôt que Saint-Ex est « bien loin » du Réel ; à sa décharge il faut reconnaître qu’il a toutefois pris le parti de finir au plus près de la réalité maritime.
Une petite pour la route des déistes :
Tiger Tiger, burning bright,
In the forests of the night;
What immortal hand or eye,
Could frame thy fearful symmetry?
In what distant deeps or skies.
Burnt the fire of thine eyes?
On what wings dare he aspire?
What the hand, dare seize the fire?
And what shoulder, & what art,
Could twist the sinews of thy heart?
And when thy heart began to beat,
What dread hand? & what dread feet?
What the hammer? what the chain,
In what furnace was thy brain?
What the anvil? what dread grasp,
Dare its deadly terrors clasp!
When the stars threw down their spears
And water’d heaven with their tears:
Did he smile his work to see?
Did he who made the Lamb make thee?
Tiger Tiger burning bright,
In the forests of the night:
What immortal hand or eye,
Dare frame thy fearful symmetry?
8 Février… et ça ne s’arrange pas !
PDM, perche tendue, perche saisie !
Little Lamb who made thee
Dost thou know who made thee
Gave thee life & bid thee feed.
By the stream & o’er the mead;
Gave thee clothing of delight,
Softest clothing wooly bright;
Gave thee such a tender voice,
Making all the vales rejoice!
Little Lamb who made thee
Dost thou know who made thee
Little Lamb I’ll tell thee,
Little Lamb I’ll tell thee!
He is called by thy name,
For he calls himself a Lamb:
He is meek & he is mild,
He became a little child:
I a child & thou a lamb,
We are called by his name.
Little Lamb God bless thee.
Little Lamb God bless thee.
» There are more things in heaven and earth, Horatio, than you’ve even dreamed of. «
L’Enfer — aussi exact qu’un procès-verbal;
Le Purgatoire — faux comme toute allusion au Ciel;
Le Paradis — étalage de fictions et de fadeurs…
La Trilogie de Dante constitue la plus haute réhabilitation du diable qu’ait entreprise un chrétien.