10 réflexions sur “Chez les journalistes aussi, l’analphabétisme est En marche!”
Il y a toujours débat sur ce point ; on doit se poser la question de savoir si l’accent doit être mis sur « le collectif » ou sur « les marcheurs ». Ici, il me semble qu’un collectif n’a pas vraiment de signification en tant que contestataire. On parle donc de plusieurs personnes ; le verbe s’accordant toujours avec le sujet, il est donc autant pluriel que le sujet. J’ai déjà mis des commentaires sur le blog de notre GG concernant « un tiers » qui est singulier, alors que dans l’expression « un tiers des Français », c’est considéré comme pluriel. En effet, « un tiers des Français est un con » n’est pas correct. Voir ici : http://parler-francais.eklablog.com/accord-avec-un-sujet-singulier-ayant-un-sens-pluriel-a5352133
Et s’il était question d’un tiers des savoyards ?
Sans oublier les quatre tiers de César et Marius …
Et quid du tiers-payant ?
J’ai fini de relever les fautes des journalistes, Il y a trop de boulot.
Vu aujourd’hui lundi soir depuis Bobo-Dioulasso (précision pour vous rendre jaloux …) sur France 24 la « bande passante » suivante:
» Un incendie a parcouru 400 hectares dans le Lubéron … » !
Encore lu ce mardi sur une telle « bande passante » un parcours de plusieurs hectares par un incendie dans le Var …
On boit des litres, on mange des kilogrammes, on parcourt des kilomètres, mais quid des hectares ?
Halte aux marcheurs !
Place aux charmeurs …
Un collectif de charmeurs contesterait-il les parties de la nouvelle statue ?
Un peu de bouffonnerie ; allons mes bons comme dirait l’autre :
« Le sort, qui du vote, leurs ouvre la barrière,
Offre à notre constance une illustre misère :
Il épuise sa force à former un décideur.
Pour mieux se mesurer avec notre candeur;
Et, comme il voit en nous des âmes si communes,
Dans l’ordre commun il nous fait ces infortunes.
Combattre un candidat pour le salut de tous.
Et contre un trou du cul s’exposer seul aux coups,
D’une simple vertu c’est l’effet ordinaire ;
Mille déjà l’ont fait, mille pourraient le faire.
Electeur pour ce pays est un indigne sort »
Michel Colucci disait que « compromis = chose due », dans cette droite ligne (si j’ose écrire) permettez moi de m’interroger qu’en au fait qu’un con promis pourrait-il être un dû bitable ?
Il y a toujours débat sur ce point ; on doit se poser la question de savoir si l’accent doit être mis sur « le collectif » ou sur « les marcheurs ». Ici, il me semble qu’un collectif n’a pas vraiment de signification en tant que contestataire. On parle donc de plusieurs personnes ; le verbe s’accordant toujours avec le sujet, il est donc autant pluriel que le sujet. J’ai déjà mis des commentaires sur le blog de notre GG concernant « un tiers » qui est singulier, alors que dans l’expression « un tiers des Français », c’est considéré comme pluriel. En effet, « un tiers des Français est un con » n’est pas correct. Voir ici : http://parler-francais.eklablog.com/accord-avec-un-sujet-singulier-ayant-un-sens-pluriel-a5352133
Et s’il était question d’un tiers des savoyards ?
Sans oublier les quatre tiers de César et Marius …
Et quid du tiers-payant ?
J’ai fini de relever les fautes des journalistes, Il y a trop de boulot.
Vu aujourd’hui lundi soir depuis Bobo-Dioulasso (précision pour vous rendre jaloux …) sur France 24 la « bande passante » suivante:
» Un incendie a parcouru 400 hectares dans le Lubéron … » !
Encore lu ce mardi sur une telle « bande passante » un parcours de plusieurs hectares par un incendie dans le Var …
On boit des litres, on mange des kilogrammes, on parcourt des kilomètres, mais quid des hectares ?
Halte aux marcheurs !
Place aux charmeurs …
Un collectif de charmeurs contesterait-il les parties de la nouvelle statue ?
Un peu de bouffonnerie ; allons mes bons comme dirait l’autre :
« Le sort, qui du vote, leurs ouvre la barrière,
Offre à notre constance une illustre misère :
Il épuise sa force à former un décideur.
Pour mieux se mesurer avec notre candeur;
Et, comme il voit en nous des âmes si communes,
Dans l’ordre commun il nous fait ces infortunes.
Combattre un candidat pour le salut de tous.
Et contre un trou du cul s’exposer seul aux coups,
D’une simple vertu c’est l’effet ordinaire ;
Mille déjà l’ont fait, mille pourraient le faire.
Electeur pour ce pays est un indigne sort »
Michel Colucci disait que « compromis = chose due », dans cette droite ligne (si j’ose écrire) permettez moi de m’interroger qu’en au fait qu’un con promis pourrait-il être un dû bitable ?