Convaincu que tout ce que je pourrais écrire ne fera pas tâche dans les tonnes d’inepties que je découvre quotidiennement sur la toile et ailleurs, je mets à disposition du public (quel public?) ce que j’ai régulièrement envie de lancer à la figure de tout un tas de gens dont la liste s’allonge jour aprés jour.
Convaincu aussi que cela ne sert à rien, mais on m’oblige à écrire cette note en préliminaire à l’ouverture de mon blog, dont le seul nom ( de blog) me navre.
Bonsoir et merci de votre visite sur mon blog.
Heureux que vous ayez apprécié Henry Montaigu.
Au sujet de votre questionnement sur la transgression du poète, voici ce que j’ai répondu à une blogueuse venue elle-aussi me visiter il y a quelque jours.
Voici comment je comprends ce texte :
Il importe de ne pas approcher la poésie avec quelque règle que ce soit.
Il importe de traverser la forme, d’aller au delà.
La poésie vraie est au delà de la forme que le poète même peut lui donner.
Le poète n’est pas nécessairement dans la révolte, il n’est pas dans la nécessité absolue de transgresser, et ceci même s’il peut parfois choisir la forme de la révolte pour dire.
Et s’il fait ce choix, cette révolte reste une forme, qu’il importe de traverser.
Celà étant dit, à tout mon « verbiage » pour expliquer, je préfère la phrase qu’a écrite Henry Montaigu, elle est plus simple, plus belle, plus poétique.
Cordialement
PS – La blogueuse est Carine, son blog « Kiss Landing » est intéressant à visiter aussi.
le lancement d’un blog n’es-il pas un frein à l’activité sur le terrain?