Les commémorations du premier homme sur la lune ont permis à nos merdiques médias en mal de sensationnel de recycler une vieille lune (hue,hue) insinuant que les expéditions Apollo n' ont été que de vulgaires montages de la Nasa, élaborés en pleine guerre froide. Ces théories du complot font toujours recette (la preuve, j' en parle), la dernière en date étant celle affirmant qu' aucun avion ne s' était écrasé sur le Pentagone.
Je vous propose une petite vidéo montrant Buzz Aldrin, harcelé par le metteur en scène Bart Sibrel qui, voulant lui faire avouer qu' il n' avait jamais mis le pied sur la lune, le traite de lâche et de menteur (coward et liar en vo). La réaction ne se fait pas attendre chez notre papy de l' espace qui lui colle une droite à soulever le con du sol.
http://www.youtube.com/v/ZOo6aHSY8hU&hl=fr&fs=1&
A plus de 75 ans, c' est pas mal: chapeau Mr Aldrin !
lenonce
lenonce 
Il y a longtemps que je pense que les « vieux » sont plus couillus que les jeunes. Imaginez ce que ce sera quand nos jeunes « couilles molles » d’aujourd’hui seront devenus vieux !
Il y a des corrections qui se perdent tous les jours : en voilà une qui a trouvé son récipiendaire. Cela ne fera pas un con de moins sur terre mais un bon moment de plus, n’en doutons pas.
Caritate, chaque génération récolte ce qu’elle a semé.
Le cerveau de l’imbécile n’est pas un cerveau vide, c’est un cerveau encombré où les idées fermentent au lieu de s’assimiler, comme les résidus alimentaires dans un côlon envahi par les toxines.
Non, ce n’est pas PDM qui a écrit cela. C’est G.BERNANOS
Pardon ! Je ne savais pas que les semences provenaient de Monsanto !
Je paierais cher pour voir le coup de poing qu’a, paraît-il, envoyé Jacques Martin dans la tronche de Sarkozy au début de l’affaire Cécilia!
Tout au plus, on peut voir la conséquence du brutal effet de recul de la tête : décollement pavillonnaire bilatéral avec mise en place de deux stations radar surveillant les environs hostiles d’un dolichocéphale nain présumé hyperactif.
Si on lui avait introduit avec toute la minutie requise un balai dans le cul, il aurait probablement était beaucoup plus mince et grand, murmurant des paroles niaises sur des mélodies inconsistantes et, ô miracle de la résilience, aurait parlé italien couramment.