Il y a peu DRAY critiquait violemment AUBRY. On aurait pu penser que, dans la mauvaise situation dans laquelle il se trouve, l'homme aux montres de luxe se serait légèrement calmé. Que nenni mes amis…il continue, avec son arrogance coutumière, à faire le fanfaron dès qu'une caméra se présente. Jusque là, finalement, rien d'anormal car chacun sait que, quand un bateau coule, les rats quittent le navire et que le politricard français n'a aucune morale. Nous sommes donc parfaitement dans la note.
Mais AUBRY doit boire, à l'heure actuelle, du petit lait. En effet, le rapport de police établi après 7 mois d'enquête, est on ne peut plus sévère pour DRAY.
Ce rapport souligne qu'entre 2005 et 2008 DRAY a dépensé beaucoup plus d'argent qu'il n'en a perçu. Ce bon socialiste a tout de même perçu, sur cette période, 1.631.417 euros (quand je vous dis que la politique est un métier lucratif) mais il en a dépensé 2.087.618. C'est qu'il a des goûts de luxe, le bougron…
Les enquêteurs ont relevé des mouvements suspects entre 5 associations et ses propres comptes bancaires. Il semblerait que les associations ponctionnaient des sommes à des tiers pour les reverser à notre donneur de leçons national. DRAY se justifie en disant qu'il ne s'agissait que de simples prêts…et parle, bien entendu, de basses manoeuvres politiques. Pour information, parmi les associations, on retrouve l'incontournable SOS RACISME avec, début juillet, garde à vue prolongée de son président. Ecoeurant.
Immédiatement les avocats de tout ce beau monde dénoncent les fuites du dossier. Nul doute qu'à la rentrée Jean Michel APATHIE ne pique, à nouveau, une belle crise de colère car le plus choquant, dans cette affaire, c'est tout de même ces fuites, non ?
DRAY est abandonné par l'ensemble du PS (y compris son ancienne égérie, la belle SEGO) qui se doute que le dossier est bourré de dynamite.
Et dire que ce type continuera à faire de la politique, à la ramener et à nous donner des leçons de bonne conduite. Vous me direz qu'il s'était chuchoté, au dernier remaniement, que SARKO voulait donner à nouveau une mission à CARIGNON. Alors…!
Quand on a un métier de feignasse aussi bien payé, on ne le quitte pas facilement.
Géronte.
lenonce 
Julien Dray est un porc répugnant, en ce sens, comme tu dis, que ce type de socialiste se plaçait toujours du bon côté de la morale et des beaux sentiments, pas comme la droite capitaliste amie du fric facile et des banquiers véreux, selon la tradition. Et le pure, c’est bien vu, c’st qu’il est capable de revenir en scène comme si de rien n’était. SOS Racisme au service de la trésorerie personnelle de Monsieur Dray ! Collecter du frix contre la racisme pour en remettre une portion dans les poches d’un député PS, mais quand on y pense : quelle monstruosité ! Le PS n’est peut-être pas encore mort, contrairement à ce que vient d’écrire BHL, mais il dégage déjà une forte odeur de pourritude. Après la bravitude, la pourritude.
Même que Sarko en est tombé dans les pommes ! Vous vous rendez compte ? On pourrait croire que son malaise vagal est dû à un footing matinal trop intense, que nenni ! Lui qui voulait acheter un « Parrain de SOS-Racisme », comme il avait acheté une « Ni pute Ni soumise », quelle déception, Dray est trop cher pour lui ! Il devra faire une croix dessus, comme pour le chocolat ! Bah, un socialiste de perdu pour le gouvernement, dix de retrouvés, on ne se fait pas de souci ; le PS solde ses fins de séries avant la fermeture définitive.
Je crois que toute cette histoire repose sur une ancienne et malencontreuse erreur d’impression : il ne faut pas lire dans la profession de foi de nos parangons de la morale républicaine « servir » mais « se servir ».
Que des générations d’électeurs veuillent bien excuser cette regrettable coquille et voir le bon côté des choses : le chemin étant fait depuis plus de deux siècles, cela ne devrait plus être douloureux, tout au plus quelques problèmes de transit épisodiques.
Admettez, que défendre l’indéfendable, justifier l’injustifiable, saper avec zèle et application les fondements essentiels d’un pays qui s’est bâti sur mille ans d’histoire, admettez que cela mérite une compensation à la hauteur des nausées matinales que juju devait ressentir devant son miroir.
Tous en sont là et reconnaissez que gouverner un peuple de cons pareils donne droit à de larges compensations.
Salauds d’ingrats, n’ayant plus à creuser le sol pour y trouver de quoi manger, il serait malséant que vous vous débattiez maintenant pour une prévarication, diront les esprits chagrins, historique et institutionnalisée qui a eu le courage, disons le, de ne jamais se dissimuler ; en tout cas pas plus, que ce que le niveau d’élaboration de l’électeur moyen exige.
On ne le dira jamais assez : » l’Humanité est surestimée « .
Il reviendra nous donner des leçons de morale républicaine, il pavoisera dans les show télé et il sera à nouveau populaire. Comme Tapie.
Les français aiment les malins, les hypocrites, les voleurs. Ils peuvent oublier les entorses à la morale pour une galéjade ou un bon numéro d’acteur.
« Les poubelles de l’histoire sont remplies de tendances prolongées »