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La CONNE Rosaelle va-t-elle s’ excuser ?

Elle qui s’ était émue d’ un tweet attribué à un obscur adjoint au maire d’ une obscure commune, dont le seul tort était d’ être de droite. La grognasse palestinolâtre (9 ou 10 points à mon questionnaire) avait sorti la grosse artillerie pour dézinguer l’ affreux: à lire ICI. Je mets une capture d’ écran pour conserver une trace après la probable suppression:

rosaelle de mes couillesLas ! La police vient de retrouver l’ auteur, un désœuvré qui avait créé un compte twitter au nom de l’ élu ( nom trouvé au hasard ), élu qui, dés le début, affirmait ne pas en posséder. Lire ICI.

C’ était insuffisant pour prouver sa bonne foi aux yeux de la grognasse détentrice de la vérité absolue, puisque de gauche. Ce cas est emblématique du niveau d’ honnêteté de cette vermine malfaisante que je combattrai jusqu’ à mon dernier souffle.

lenonce

18 réflexions sur “La CONNE Rosaelle va-t-elle s’ excuser ?

  1. S’excuser ? Vous voulez rire ! L’Innommable est infaillible ! Et puis elle n’a fait que se joindre, avec le tact qu’on lui connait à la meute des loups. Que saurait-elle faire d’autre ?

  2. Ah, vous n’allez pas me déprimer ma Rosa, tout de même ! Déjà que cela fait plus de dix jours qu’elle a cessé de nous dispenser ses lumières, vous allez me l’achever, là !

  3. Il y a des roses qui se caractérisent par leur parfum envoûtant, d’autres par leur éclatante beauté, certaines par la délicatesse de leurs pétales… et d’autres encore par leurs épines !
    Quoi qu’il en soit
    « Je tombais de sommeil et la sagesse me dit :
    Jamais dans le sommeil la rose du bonheur n’a fleuri pour personne…
    La saison des roses et du vin et des compagnons ivres !
    Sois heureux un instant, cet instant c’est ta vie
    Vois, la brise a déchiré la robe de la rose,
    De la rose dont le rossignol s’était enamouré ;
    Faut-il pleurer sur elle, faut-il pleurer sur nous ?
    La mort viendra nous effeuiller et d’autres roses refleuriront. »
    [Omar Khayyam]

  4. Deux billets CONsécutifs sur la connerie, inCONtestablement vous vous sentez très CONcerné par ce phénomène CONsternant …

  5. « Le blason », Georges Brassens

    Ayant avecques lui toujours fait bon ménage,
    J’eusse aimé célébrer, sans être inconvenant,
    Tendre corps féminin, ton plus bel apanage,
    Que tous ceux qui l’ont vu disent hallucinant.
    Ç’eût été mon ultime chant, mon chant du cygne,
    Mon dernier billet doux, mon message d’adieu.
    Or, malheureusement, les mots qui le désignent
    Le disputent à l’exécrable, à l’odieux.
    C’est la grande pitié de la langue française,
    C’est son talon d’Achille et c’est son déshonneur,
    De n’offrir que des mots entachés de bassesse
    A cet incomparable instrument de bonheur.
    Alors que tant de fleurs ont des noms poétiques,
    Tendre corps féminin, c’est fort malencontreux
    Que ta fleur la plus douce et la plus érotique
    Et la plus enivrante en ait de si scabreux.
    Mais le pire de tous est un petit vocable
    De trois lettres, pas plus, familier, coutumier,
    Il est inexplicable, il est irrévocable,
    Honte à celui-là qui l’employa le premier.

    Honte à celui-là qui, par dépit, par gageure,
    Dota du même terme, en son fiel venimeux,
    Ce grand ami de l’homme et la cinglante injure,
    Celui-là, c’est probable, en était un fameux.
    Misogyne à coup sûr, asexué sans doute,
    Au charme de Vénus absolument rétif,
    Etait ce bougre qui, toute honte bu’, toute,
    Fit ce rapprochement, d’ailleurs intempestif.
    La male peste soit de cette homonymie !
    C’est injuste, madame, et c’est désobligeant
    Que ce morceau de roi de votre anatomie
    Porte le même nom qu’une foule de gens.
    Fasse le ciel qu’un jour, dans un trait de génie,
    Un poète inspiré, que Pégase soutient,
    Donne, effaçant d’un coup des siècles d’avanie,
    A cette vrai’ merveille un joli nom chrétien.
    En attendant, madame, il semblerait dommage,
    Et vos adorateurs en seraient tous peinés,
    D’aller perdre de vu’ que pour lui rendre hommage,
    Il est d’autres moyens et que je les connais,
    Et que je les connais.

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