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Ayrault: déjà une première connerie

ayraultFaisant fi des problèmes croissants créés par les migrants en Allemagne (agressions de Cologne, attaques récurrentes de centres d’ hébergement, etc,… ) après cette folie d’ un accueil incontrôlé, le nouveau ministre des affaires étrangères, sur-compétent puisqu’ ancien professeur d’ allemand, vient de souffler sa première bulle. Regardez-le bien sur la photo: il n’ a rien perdu de sa superbe, aussi fringant qu’ au temps où il était premier ministre.

On sent qu’ avec cette limande avariée à l’ œil vitreux, la France va rayonner comme un micro-onde sur une communauté internationale déjà conquise !

lenonce

7 réflexions sur “Ayrault: déjà une première connerie

  1. Deutschland, heiliges Deutschland,
    du schaust aus der Jungen Gesicht.
    Deutschland, heiliges Deutschland,
    in Ewigkeit stirbst du nicht.
    Wo stehen wie hier die Söhne
    so leuchtend dem Ewigen treu?
    Deutschland in blühender Schöne
    immer erhebst du dich neu!

    Pas franchement bisou comme hymne.

  2. Le professeur d’allemand Ayrault doit sans doute apprécier Goethe :

    Wohl dem, der seiner Väter gern gedenkt
    der froh von ihren Taten, ihrer Größe
    den Hörer unterhält und still sich freuend
    ans Ende dieser schönen Reihe sich geschlossen sieht.

    Johann Wolfgang von Goethe, Iphigenie I,3

    Cet extrait d’Iphigenie figurait sur la page de garde de certains « Ahnenpass » (passeport généalogique) mis en place dès 1935 par les lois de Nuremberg. A l’époque il fallait justifier notamment pour occuper certains emplois ou pour obtenir simplement une pièce d’identité que l’on était « allemand de souche » ! Mutti Merkel devrait relire ses classiques mais il est vrai il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis !

    Traduction approximative trouvait sur Wikipedia :
    Heureux celui qui se souvient avec plaisir de ses pères ; qui entretient avec joie l’étranger de leurs actions, de leur grandeur, et goûte une satisfaction secrète à se voir le dernier anneau de cette belle chaîne !

  3. L’épitaphe du roi Louis VII ressemble un peu:

    Huic superes tu qui superes successor honoris ;
    Degener es si degener a laude prioris.

  4.  » Je vois bien l’avantage qu’on peut trouver à concentrer l’attention publique sur de petits faits particuliers, que provisoirement nous considérons comme exceptionnels (…). Mais si la tendance et l’objectif de ces sortes de considérations sont très clairs, il est encore plus clair qu’elles risquent de jeter l’opinion française sur la pente d’une illusion très dangereuse. C’est très joli de dire qu’on ne fait pas la guerre aux peuples ! Si la manœuvre ne persuade point le peuple ennemi, elle a le grave inconvénient d’exposer le nôtre à des élans de confiance dont il serait infailliblement la victime. »
    Charlie le Martégal
    Réflexion très exportable actuellement.

    Pour nos coréligionnaires lenonciens, au demeurant germanophiles cultivés ce que je ne suis pas :
     » L’homme est un Dieu quand il rêve et un mendiant quand il réfléchit. »
    Holderlin
    Ps : Lenonce tu m’obliges à commenter des sujets qui me dépassent pour la seule occasion de t’invectiver, infâme crevure syphilitique. Longue vie à toi, et à ton courage bloguesque, exsudat morticole.

    • C’est l’appétence du ténia pour le colon, de l’ongle pour la crotte de nez ou de la région glutéale pour la lunette des chiottes: moi aussi je t’aime !

      • Me voilà tænia et pourquoi sangsue … je ne peux résister :

         » Qu’y puis-je? Étouffants, haineux, foireux, bien traîtres, demi-sangsues, demi-ténias, ils ne me font point d’honneur, je n’en parle jamais, c’est tout. Progéniture de l’ombre. Décence! Oh! Je ne veux aucun mal au petit J. -B. S. ! Son sort où il est placé est bien assez cruel ! Puisqu’il s’agit d’un devoir, je lui aurais donné volontiers sept sur vingt et n’en parlerais plus…

        Mais page 462, la petite fiente, il m’interloque ! Ah ! Le damné pourri croupion ! Qu’ose-t-il écrire? « Si Céline a pu soutenir les thèses socialistes des nazis c’est qu’il était payé. » Textuel. Holà! Voici donc ce qu’écrivait ce petit bousier pendant que j’étais en prison en plein péril qu’on me pende. Satanée petite saloperie gavée de merde, tu me sors de l’entre fesse pour me salir au-dehors ! Anus Caïn pfoui. Que cherches-tu? Qu’on m’assassine! C’est l’évidence ! Ici ! Que je t’écrabouille! Oui !… Je le vois en photo, ces gros yeux… ce crochet… cette ventouse baveuse… c’est un cestode !  »

        Je t’aime aussi bite endimanchée des partouzes foraines

  5. Très bon sens de l’à propos temporel* eu égard au 100ème anniversaire du déclenchement de la bataille de Verdun (qui plus est par les allemands) !

    Vous voudrez bien noter chers amis défenseurs de la francophonie que j’aurais pu écrire « très bon sens timing » …

    * Et il y’en eut des bals chez Temporel …

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