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Mimitte: les bafouilles du vier d’Anne

Je suis tombé par hasard à la radio sur un entretien d’Anne Pingeot, la maitresse officielle de François Mitterand, avec l’historien Jean-Noël Jeanneney, entretien où elle semblait regretter la publication des lettres qu’il lui écrivait, tout enflammé d’amour qu’il était. « Je ne sais pas si j’ai bien fait, vous m’avez un peu forcé la main » minaudait-elle. C’était répugnant.

Voilà une greluche qui, grâce à sa relation adultérine avec Mimitte, a vécu très largement prise en charge par la République. D’abord, il l’envoie à Paris étudier , car « elle aime l’art », mais oncque ne sait quelles études elle a faite pour devenir conservatrice au département des sculptures au Louvre, et encore actuellement conservateur honoraire du musée d’Orsay. Il semblerait pas grand chose d’autre que d’avoir astiqué la ronde-bosse de son chéri. Ensuite, en 1983, cet infâme président, que l’on va finir par trouver formidable en comparaison de la merde actuelle, installe sa pouf et sa fille, Mazarine, d’abord dans un 250 m² d’un immeuble affecté à la Présidence de la République, puis au château de Souzy-la-Briche, résidence de villégiature mise à disposition du Premier ministre, où elles bénéficient de huit gendarmes à temps plein (lire ICI). Et toutes deux, l’une pseudo-philosophe, l’autre pseudo-conservatrice, ont le front de se produire dans les médias, de pondre des bouquins, de se faire interviewer, alors qu’on serait fondé à réclamer le remboursement des sommes qu’elles nous ont coûté. Elles n’ont aucun honneur, ni aucun respect d’ailleurs pour l’épouse officielle envers laquelle ce bouquin est un affront posthume.

Pour conclure, ces lettres, du peu que j’en ai lu, et comme souvent dans cet exercice, sont d’une grande mièvrerie (Mimitte n’était-il pas député de la Mièvre?) et n’ont rien de l’exceptionnel qu’on veut bien nous vendre.

lenonce

44 réflexions sur “Mimitte: les bafouilles du vier d’Anne

  1. Bientôt Noël ! Livraison massive de colis AirbusIndustrie à tous les héritiers de notre beau pays ; u bisognu a abbate a muzza secca:

    Au XVIII° on trouvait encore de vrais libre-penseurs ; Chevalier De La Barre ayez pitié de de nous, car de notre mal personne ne se rit; mais priez Dieu que tous nous veuillent absoudre.

    Our Motto : « 20 Roys ont fait la France, 5 Républiques l’ont mis à bas. »

  2.  » We buy things we don’t need
    With money we don’t have
    To impress people we don’t like  »

    Quizz : qu’es aquò ?

  3. Et Mazarine semble aussi se distinguer quant aux qualités et quantité de ses « ex » dont une notoire propension pour la rive sud de la Méditerranée (mais peut être est-ce du à une confusion, à une lettre près certes, avec la Mitterandie ?) !
    Pensée émue pour Didier Le Bret …
    Quand à ses qualifications et autres titres littéraires bien peu de son âge et de ses diplômes ont eu les mêmes avantages ou fonctions …

    • Hélas non, car ne figurent ici que les Pompes à dur et adeptes de Barrissement, fussent-elles comtesse ou pas d’ailleurs.
      Aucune place pour les égayées ou les rottweilers. Ces dernières font emplette dans le rayon des flans caramélisés.
      @Le Nain : totalement d’accord ; force est de constater toute la différence entre ces aventurières du vit à l’image de nos époques respectives. Notons que les  » sans-dents  » ont conservé un diamètre anal identique, avec cette nuance démocratique qu’ils peuvent désormais choisir leur sodomite. Je crois que c’est ce qu’ils nomment  » progrès social ».

  4. C’est un film, une histoire de savon.
    Derniers indices avant réponse :
    –  » Tu dois admettre que Dieu ne t’aime pas du tout, Il ne t’a jamais voulu (…) On est les enfants non désirés de Dieu  »
    –  » J’avais envie de loger une balle entre les deux yeux de tous les pandas qui n’étaient pas foutus de baiser pour sauver leur espèce. « 

  5. Pour celles et ceux qui l’auraient ratée lors de sa publication, sinon c’est toujours une joie de savoir que l’humour résiste :

  6. Je ne sais si Lenonce tient des tableaux de bords et autres fariboles statistiques (non non je n’ai pas évoqué de métastastisqiques pour lesquelles les pros se tâtent …) mais il me semble que ce bifton émoustille tout particulièrement Pilier de Mine !…

    •  » La vie c’est une classe dont l’ennui est le pion, il est là tout le temps à vous épier d’ailleurs, il faut avoir l’air d’être occupé, coûte que coûte, à quelque chose de passionnant, autrement il arrive et vous bouffe le cerveau. « 

      • “Celui qui souffre d’un mal caractérisé n’a pas le droit de se plaindre : il a une occupation. Les grands souffrants ne s’ennuient jamais : la maladie les remplit, comme le remords nourrit les grands coupables. Car toute souffrance intense suscite un simulacre de plénitude et propose à la conscience une réalité terrible, qu’elle ne saurait éluder ; tandis que la souffrance sans matière dans ce deuil temporel qu’est l’ ennui n’oppose à la conscience rien qui l’oblige à une démarche fructueuse. Comment guérir d’un mal non localisé et suprêmement imprécis, qui frappe le corps sans y laisser d’empreinte, qui s’insinue dans l’âme sans y marquer de signe ? Il ressemble à une maladie à laquelle nous aurions survécu, mais qui aurait absorbé nos possibilités, nos réserves d’ attention et nous aurait laissés impuissants à combler le vide qui suit la disparition de nos affres et l’évanouissement de nos tourments. L’enfer est un havre auprès de ce dépaysement dans le temps, de cette langueur vide et prostrée où rien ne nous arrête sinon le spectacle de l’univers qui se carie sous nos regard.
        Quelle thérapeutique employer contre une maladie dont nous ne nous souvenons plus et dont les suites empiètent sur nos jours ? Comment inventer un remède à l’existence, comment conclure cette guérison sans fin ? Et comment se remettre de sa naissance ?
        L’ennui, cette convalescence incurable …”

  7. Oh peuchère !

    Après une légère interruption de livraison de presse quotidienne française, mais bien moins longue que la non-arrivée de la Fischer promise par le parigot T. Nardier , je découvre à la lecture d’une brève dans Le Figaro d’hier mercredi 26 octobre que « Un homme qui avait saccagé avec une BOULE DE PETANQUE plusieurs smartphones et ordinateurs exposés dans le magasin Apple de Dijon a été condamné mardi par le tribunal correctionnel à six mois de prisons AVEC SURSIS ».

    Ô Bonne-Mère et mille pastaga, c’est quoi ce boxon, ce fan de pute gaspille une sacro-sainte boule de pétanque et tout cela juste pour du sursis ?…

  8. Alors les enfants, bravo à toutes et à tous!
    L’infâme Mimitte n’aurait jamais imaginé un tel succès! Sa plume en a chatouillé plus d’un (une)…

      • Ô magnifique fleur sauvage
        Je t’en supplie, dis-moi,
        Pourquoi les gens se blessent et
        Se battent entre eux ?

        Ô fleur florissant dignement
        Que peux-tu voir depuis là-bas ?
        Pourquoi les gens ne peuvent-ils pas
        Se pardonner les uns les autres ?

        La pluie est passée et l’été
        A pris une teinte bleutée
        Désormais toute seule
        Tu tremblais faiblement
        Devant moi
        Sans dire un mot

        Lorsque tes amies fanent autour de toi
        Que penses-tu ?
        Avec tes feuilles incapables de parler
        Comment transmets-tu ton amour ?

        Le soleil estival se couvrait et
        Le vent soufflait
        La preuve de deux
        Vies chevauchées
        Je chanterai
        Pour ceux qui n’ont pas de nom

  9. « N’importe quel trou du cul peut devenir, bien enculé de publicité, un immense n’importe quoi, l’objet d’un culte, une suprêmissime vedette, un criminel horriblissime, une léviathane catastrophe, un film dantesque, une pâte à rasoir cosmique, un transatlantique qui fait déborder la mer, un apéritif qui fait tourner la terre, le plus grand Lépidaure des Âges, le Président du conseil qui bouffe les casquettes vivantes. Plus c’est cul et creux, mieux ça porte. »

    • Loin de moi l’idée de faire polémique, mais il me semble que « n’importe quel trou du cul » ne puisse être d’évidence « bien enculé » ; le rétif et le timide, notamment, font encore débat à défaut d’ébats.

      • « Quand on prend des risques, on peut perdre. Quand on n’en prend pas, on perd toujours », in « Joueuse », l’histoire d’une femme ordinaire qui va s’animer en se découvrant une passion pour le jeu d’échecs…

  10. « Quant à moi, maintenant, j’ai fermé mon âme. Je ne dis plus à personne ce que je crois, ce que je pense et ce que j’aime. Me sachant condamné à l’horrible solitude, je regarde les choses, sans jamais émettre mon avis. Que m’importent les opinions, les querelles, les plaisirs, les croyances ! Ne pouvant rien partager avec personne, je me suis désintéressé de tout. Ma pensée, invisible, demeure inexplorée. J’ai des phrases banales pour répondre aux interrogations de chaque jour, et un sourire qui dit « oui », quand je ne veux même pas prendre la peine de parler. »

    • Ô Jeanne !
      L’âme étant notre supérieure, tu ne peux décider de la fermer …
      Et pourquoi la solitude serait elle horrible ?
      Comme disaient trois bengalais, le débat est lancé !

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