DSK au Bois: les socialistes pissent en l’air et font croire qu’ il pleut !

Je suis assez stupéfait de l' aplomb avec lequel certains socialos, et parmi les plus vertueux comme Julien Dray, présentent l' épisode 238 mettant en scène note Dodo la queuedure national !

Voici ce qu' on peut lire sur Libé:

" Pierre Moscovici, directeur de campagne de François Hollande, a qualifié lundi de «méprisable», le comportement de «barbouze» du ministre de l’Intérieur exhumant un contrôle de police de Dominique Strauss-Kahn en 2006 au bois de Boulogne, haut lieu de prostitution. "

Et après:

" Dans le JDD, Claude Guéant a évoque un contrôle de Dominique Strauss-Kahn en 2006 au bois de Boulogne … "

Ils sont fous ! C' est le JDD qui évoque cette affaire, et demande à Guéant ce qu' il en pense. Lisez ici:

" En décembre 2006, la police aurait interpellé Dominique Strauss-Kahn dans le bois de Boulogne. L’avez-vous su?
Oui, j’ai entendu parler de cette histoire au cours de laquelle monsieur Strauss-Kahn avait été contrôlé au bois de Boulogne par les fonctionnaires en charge de la surveillance de cet endroit lors d’un contrôle de routine. Mais, il n’y a aucune procédure à ce sujet. Il n’était pas tombé dans un guet-apens de la police! Il n’était pas suivi. Ce n’est quand même pas la faute de la police s’il était là-bas ce soir-là! "

Cela parait pourtant clair ! Comment des personnes douées d' une certaine intelligence, comme Olivier Duhamel ( lire ici ), peuvent-elles afficher autant de mauvaise foi ?

La réalité est que les préservatifs de Dodo sont collés aux socialistes comme le sparadrap aux doigts du Capitaine Haddock: ils ne s' en dépégueront jamais ! Et ils pètent les plombs, comprenant, au fil des interventions de Guimauve le conquérant, qu' une victoire à la présidentielle 2012 est de plus en plus illusoire …

lenonce

Taponier et Ghesquière, je vous Kapisa au derrière !

285068 Cela fait un moment que je la sentais pas bien cette libération. Une sorte de pressentiment. Je n' ai jamais eu de véritable empathie à l' égard de ces otages. Le responsable de leur comité de soutien a une tête de con insupportable, le père de l' un, la mère de l' autre, prenant sans cesse la parole pour critiquer l' Etat qui ne les tenait pas au courant ( sic ! ) ne m' étaient pas sympathiques, mais enfin je luttais contre ces mauvaises pensées.

La veille de la libération, sur Canal +, le ton était déjà donné. Il n' était question que des paroles de Guéant et Sarkozy, et de l' affront qu' on aurait fait à ces grands professionnels en insinuant qu' ils n' avaient pas à se trouver où ils étaient, qu' ils avaient mis en danger nos forces sur place et qu' ils nous avaient fait dépenser beaucoup d' argent pour rien.

Untel nous explique que la mission des journalistes est indispensable si on veut avoir un autre son de cloche que celui des Talibans ou de l' armée française, ce renvoi dos-à-dos étant déjà en lui-même gerbatoire. On sait très bien en fait ce qu' il y a dans ces régions reculées d' Afghanistan. Des montagnes hostiles et toutes pourries, où des poilus barbus en robes et babouches maudissent l' Occident en enculant leur chèvre. Est-il besoin d' envoyer des journalistes pour raconter cela ?

Mais j' ai attendu leur arrivée en France, et avec leur retour, attendu aussi le mot, le seul, que j' aurais aimé leur entendre prononcer en premier à leur descente d' avion: MERCI !

Merci à la France, à ses services de renseignement, au gouvernement, au Président, aux français, merci d' appartenir à un pays qui n' abandonne pas ses ressortissants et qui est prêt à dépenser des MILLIONS d' EUROS pour les ramener sur le territoire national.

Peau de balle !

Au lieu de cela nous avons entendu un Ghesquière, ma foi très en forme et combattif ( le grand air, ça conserve ), vouloir mettre les choses au clair, les points sur les " i " selon son expression. A peine débarqué, monsieur mon con n' a qu' une préoccupation, sauver son honneur sali de journaleux !

Alors que la question principale est: combien la libération de ces clowns nous a coûté, et qui va payer ?

lenonce