Tu as raison Caritate (au fait à quand ton test’amant ? Comme Hervé …), sinon nous allons devenir chèvre !
Dominique, tu vas être déçu, je n’ai pas d’amant à tester !
Et hop ! Dès mercredi je viens d’empocher mon prochain « MP3 de la semaine » : un petit cas Banon, pas plus grand qu’un mouchoir de poche…
Un petit cabanon
Pas plus grand qu’un mouchoir de poche
Un petit cabanon
Au bord de la mer sur des roches
Pour vivre qu’il fait bon
Quand la blague à son toit accroche
Son pavillon joyeux
Qui claque dans notre ciel bleu.
Musique de Vincent Scotto
Merci qui ? Merci Geronte !
GG, tu peux même y adjoindre Le Petit Âne gris, d’Hugo Frais, ou L’Âne, de Jean Ferrat
A moins que d’ici dimanche, l’actualité…
Le bonheur, té, mon bon !
C’est un tout petit cabanon.
DSK et Sinclair ne l’ont pas compris 7 sur 7
Géronte, je ne pense pas que ton « joke » en titre ait interpelé nos congénères, à moins que je ne sois dans une référence abusive.
Quoiqu’il en soit, voilà l’occasion de ne pas l’oublier :
« Mon Dieu, que ce serait agréable de garder tout ceci pour soi !… plus dire un mot, plus rien à écrire, qu’on vous foute extrêmement la paix… on irait finir quelque part au bord de la mer… pas la Côte d’Azur !… la mer la vraie, l’Océan… on parlerait plus à personne, tout à fait tranquille, oublié… mais la croque, Mimile ?… trompettes et grosse caisse !… aux agrès, vieux clown ! et que ça saute ! »
Monsieur le Foutriquet Copermutant (ce qui reste à prouver !), hormis vous gausser d’eux et leur donner des leçons, quels relations entretenez-vous avec vos congénères ? du mépris ? et à part ça ?
@ Marino: Bravo!
Vous avez parfaitement cerné le fonds de commerce de ce bigorneau malfaisant, changeant de nom à un ryhtme effréné, prisonnier d’ un maelstrom schizophrénique qui l’ enverra par le fonds rejoindre les résidus méphitiques d’ une intelligence toute entière tournée vers le dégout!
lenonce
Quel joli portrait de ce commentateur à multiples facettes… et pseudos divers et (a)variés. A sa décharge (!), reconnaissons qu’il n’est pas le seul à agir ainsi. S’agit-il là de tromperie ? En tout cas pas envers le « tenancier du blog », qui a toujours l’adresse mail du commentateur, ce qui le trahit, et aussi – et surtout – son adresse IP !
PS : « Quelles relations » aurait été préférable, non ?
…….plus haut!…plus haut! vous êtes un petit peu attendu! le public vous demande qu’une seule chose : que vous vous cassiez bien la gueule!
Voilà que la vomissure prétend éclabousser le peu qui reste de moi ici-bas. »Levez vous orages désirés », si j’avais encore quelques vaines velléités à l’endroit de l’engeance. De là à supposer une relation, du mépris ?
Et pourquoi pas du temps à perdre !
Nul fond de commerce, puisqu’il ne serait aucunement question d’avoir un quelconque commerce avec ce tapis de moisissure d’un sous-bois ennuyeux.
C’est tout le problème du taenia : il se reproduit et confiant de triompher par le nombre, il nous impose les effluves merdeuses qui paraphent ses indignations de parasite.
Entre deux couinements de nos Bayard d’arrière-boutique, perce toutefois l’idée juste : arrêter de faire le clown. dont acte.
Alors ce sera la petite dernière pour décoller un peu de merde, dans ce réseau d’égout qui vous tient lieu d’horizon :
« Je fais le clown car ceux qui viennent à moi ne cherchent que ce qu’ils espèrent trouver. Je ne veux pas les décevoir ; question de courtoisie »
» […] Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit :
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve. »
L’un des plus beaux textes à mes yeux
On ne va pas en faire un fromage, non plus !
Tu as raison Caritate (au fait à quand ton test’amant ? Comme Hervé …), sinon nous allons devenir chèvre !
Dominique, tu vas être déçu, je n’ai pas d’amant à tester !
Et hop ! Dès mercredi je viens d’empocher mon prochain « MP3 de la semaine » : un petit cas Banon, pas plus grand qu’un mouchoir de poche…
Un petit cabanon
Pas plus grand qu’un mouchoir de poche
Un petit cabanon
Au bord de la mer sur des roches
Pour vivre qu’il fait bon
Quand la blague à son toit accroche
Son pavillon joyeux
Qui claque dans notre ciel bleu.
Musique de Vincent Scotto
Merci qui ? Merci Geronte !
GG, tu peux même y adjoindre Le Petit Âne gris, d’Hugo Frais, ou L’Âne, de Jean Ferrat
A moins que d’ici dimanche, l’actualité…
Le bonheur, té, mon bon !
C’est un tout petit cabanon.
DSK et Sinclair ne l’ont pas compris 7 sur 7
Géronte, je ne pense pas que ton « joke » en titre ait interpelé nos congénères, à moins que je ne sois dans une référence abusive.
Quoiqu’il en soit, voilà l’occasion de ne pas l’oublier :
« Mon Dieu, que ce serait agréable de garder tout ceci pour soi !… plus dire un mot, plus rien à écrire, qu’on vous foute extrêmement la paix… on irait finir quelque part au bord de la mer… pas la Côte d’Azur !… la mer la vraie, l’Océan… on parlerait plus à personne, tout à fait tranquille, oublié… mais la croque, Mimile ?… trompettes et grosse caisse !… aux agrès, vieux clown ! et que ça saute ! »
http://caritatelibertas.typepad.fr/lphmride_de_caritate_libe/2009/05/ferdinand.html
Monsieur le Foutriquet Copermutant (ce qui reste à prouver !), hormis vous gausser d’eux et leur donner des leçons, quels relations entretenez-vous avec vos congénères ? du mépris ? et à part ça ?
@ Marino: Bravo!
Vous avez parfaitement cerné le fonds de commerce de ce bigorneau malfaisant, changeant de nom à un ryhtme effréné, prisonnier d’ un maelstrom schizophrénique qui l’ enverra par le fonds rejoindre les résidus méphitiques d’ une intelligence toute entière tournée vers le dégout!
lenonce
Quel joli portrait de ce commentateur à multiples facettes… et pseudos divers et (a)variés. A sa décharge (!), reconnaissons qu’il n’est pas le seul à agir ainsi. S’agit-il là de tromperie ? En tout cas pas envers le « tenancier du blog », qui a toujours l’adresse mail du commentateur, ce qui le trahit, et aussi – et surtout – son adresse IP !
PS : « Quelles relations » aurait été préférable, non ?
…….plus haut!…plus haut! vous êtes un petit peu attendu! le public vous demande qu’une seule chose : que vous vous cassiez bien la gueule!
Voilà que la vomissure prétend éclabousser le peu qui reste de moi ici-bas. »Levez vous orages désirés », si j’avais encore quelques vaines velléités à l’endroit de l’engeance. De là à supposer une relation, du mépris ?
Et pourquoi pas du temps à perdre !
Nul fond de commerce, puisqu’il ne serait aucunement question d’avoir un quelconque commerce avec ce tapis de moisissure d’un sous-bois ennuyeux.
C’est tout le problème du taenia : il se reproduit et confiant de triompher par le nombre, il nous impose les effluves merdeuses qui paraphent ses indignations de parasite.
Entre deux couinements de nos Bayard d’arrière-boutique, perce toutefois l’idée juste : arrêter de faire le clown. dont acte.
Alors ce sera la petite dernière pour décoller un peu de merde, dans ce réseau d’égout qui vous tient lieu d’horizon :
« Je fais le clown car ceux qui viennent à moi ne cherchent que ce qu’ils espèrent trouver. Je ne veux pas les décevoir ; question de courtoisie »
» […] Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit :
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve. »
L’un des plus beaux textes à mes yeux