Cherchez l’erreur:
Y a pas à dire, question interpellations, il s’est amélioré en quelques jours, notre chien andalou ! Le catho et l’ extrêmedrouate, ça a toujours motivé le gaucho !
Mais la palme revient encore une fois à Harlem la déconnante, qui a couiné un: «Attaquer un parti politique, c’est s’attaquer à la démocratie ! », parce qu’une dizaine de couillus de Génération Identitaire sont montés sur une terrasse du siège du péesse ( la même où Ségolène, après sa défaite en 2007 avait appelé les militants à l’accompagner vers d’autres victoires. )
Il était furieux le Désir, et en même temps ravi que les débordements qu’ il appelait ardemment de ses vœux se soient produits. La démocratie en danger: heureusement que le ridicule ne tue plus, notre ex-délinquant serait déjà mort à de multiples reprises.
Moi, je n’ ai qu’ une chose à dire: bravo les p’tis gars !
lenonce
Le chien et les chacals
Jean de La Fontaine…
Du coquin que l’on choie, il faut craindre les tours
Et ne point espérer de caresse en retour.
Pour l’avoir ignoré, maints nigauds en pâtirent.
C’est ce dont je désire, lecteur, t’entretenir.
Après dix ans et plus d’homériques batailles,
De méchants pugilats, d’incessantes chamailles
Un chien est bien aise d’avoir signé la paix
Avec son voisin, chacal fort éclopé
À l’allure fuyante, que l’on montre du doigt
Qui n’avait plus qu’un oeil, chassieux de surcroît,
Et dont l’odeur, partout, de loin le précédait
Voulant sceller l’événement
Et le célébrer dignement,
Le chien se donna grande peine
Pour se montrer doux et amène.
Il pria le galeux chez lui,
Le fit entrer, referma l’huis,
L’assit dans un moelleux velours
Et lui tint ce pieu discours :
« Or donc, Seigneur Chacal, vous êtes ici chez vous !
Profitez, dégustez, sachez combien je voue
D’amour à la concorde nouvelle entre nous !
Hélas, que j’ai de torts envers vous et les vôtres,
Et comme je voudrai que le passé fût autre !
Reprenez de ce rôti, goûtez à tous les mets,
Ne laissez un iota de ce que vous aimez ! »
L’interpellé eut très à coeur
D’obéir à tant de candeur.
La gueule entière à son affaire,
Il fit de chaque plat désert
Cependant que son hôte affable
Se bornait à garnir la table.
Puis, tout d’humilité et la mine contrite,
En parfait comédien, en fieffée chattemite
Il dit : « Mais, j’y songe, mon cher,
Nous voici faisant bonne chère
Quand je sais là, dehors, ma pauvrette famille :
Mes épouses, mes fils, mes neveux et mes filles,
Mes oncles et mes tantes que ronge la disette,
Toute ma parenté tant nue que maigrelette.
Allons-nous les laisser jeûner jusqu’au matin ? »
« Certes non ! » répliqua, prodigue, le mâtin,
qui se leva, ouvrit, et devant qui passèrent
quarante et un chacals parmi les moins sincères.
Sans tarder cliquetèrent les prestes mandibules
Des grands et des menus, même des minuscules.
Ils avoient tant de crocs, de rage et d’appétit
Ils mangèrent si bien que petit à petit
Les vivres s’étrécirent comme peau de chagrin
Jusqu’à ce qu’à la fin il n’en restât plus rien.
Ce que voyant, l’ingrat bondit :
« Ah ça, compère, je vous prédis
Que si point ne nous nourrissez
Et tout affamés nous laissez
Tandis que vous allez repu,
La trêve entre nous est rompue ! »
Ayant alors, quoi qu’il eût dit,
Retrouvé forces et furie,
Il se jeta sur son mécène,
Et en une attaque soudaine, il lui récura la toison,
Aidé de toute sa maison.
Puis, le voyant à demi mort,
De chez lui il le bouta hors.
Et l’infortuné crie encore
« La peste soit de mon cœur d’or ! »
Retenez la leçon, peuples trop accueillants :
À la gent famélique, point ne devez promettre.
Ces êtres arriérés, assassins et pillards
Marchent en rangs serrés sous le vert étendard.
Vous en invitez un, l’emplissez d’ortolans,
Et c’est jusqu’à vos clefs qu’il vous faudra lui remettre.
Nicolas demorand, journaliste orienté s’il en est, patron de Libé, a commis un éditorial tout à fait insupportable dans lequel il baptise cette manifestation la réac-pride ….. tant il est évident que ne pas être d’accord avec les socialistes induit que l’on est un fasciste. Son éditorial, à lire absolument, est a vomir http://www.liberation.fr/societe/2013/05/26/debacle_905896. Je ne suis pas étonné que Demorand soit toujours reçu comme un héros sur canal. Voilà du grand journalisme…
Je partage à 100% ce constat.
Le contraste est éloquent, indiscutable et dégueulasse.
Dommage cependant qu’il n’ait pas l’idée (ou le courage?) de pousser l’analyse jusqu’au bout.
Plutôt que des réponses toutes faites, quelques questions pour y parvenir :
Article 1.
Qui à intérêt à laisser faire tout en montrant à la France entière des casseurs « ultra » (identifié visuellement et explicitement comme des maghrébins issu de notre regretté empire colonial) détruire Paris (et par extension la France) ?
Quel est la réaction évidente, et prévisible, d’un Français moyen qui s’aime et aime son pays face à un tel laisser aller ?
Quel est la réaction du Bobo et assimilés ?
Pourquoi ces faits, qui ont gâché la fête (financée par le Qatar ?), ont-ils suscité si peu d’action et surtout de réaction du gouvernement ?
Article 2.
Qui a intérêt à passer un message global visant à faire passer tout opposant au mariage gay (différent du mariage homosexuel ?) pour un néo-nazi d’extrême (droite ?) ?
Quel est la réaction évidente, et prévisible, d’un Français moyen qui s’aime et aime son pays face à un tel acharnement ?
Quel est la réaction du Bobo et assimilés ?
Pourquoi ces faits ont-ils suscité autant d’action et de réaction du gouvernement et du partie socialiste en particulier ?
Article 1 et 2.
N’est-il pas légitime de s’interroger sur la différence de traitement entre une manifestation des Femen (banderoles + nudité + incitation à la haine + tout sauf Français) et cette dernière ?
Quelles conclusions tire-t-on de ces faits avant analyse ?
Quelles conclusions peut-on en tirer après analyse et au travers des réponses à ces questions ?
Quels élargissements et liens avec des événements historiques et contemporains peuvent nous permettre d’approfondir, de comprendre la mécanique dans son ensemble et d’anticiper (prévoir) le future ?
Citation à double sens du jour. Tous les chemins mènent à Rome. Tous les chemins mènent au 4eme empire.
Et comme toujours après le travail, on se détend en musique. Aujourd’hui avec Tonton David : http://www.youtube.com/watch?v=3ybh_GdC5iA