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Lenonce menacé par le syndicat Sud Education !

Suite à la note de Géronte " La dictature des branleurs continue de s' imposer à tous ", voici le courriel que vient de nous adresser Marie Hélène Moyne pour le syndicat Sud éducation:

" je vous écris au sujet de votre blog et d'un article concernant le lycée
Artaud à Marseille. La liberté d'expression a ses limites et si les propos
tenus envers notre organisation syndicale ne sont pas retirés dans les
plus brefs délais, nous ferons appel à la justice. Si vous souhaitez des
informations sur notre organisation syndicale, vous pouvez nous contacter
par mail ou au 01 42 43 90 09.
marie Hélène Moyne pour la fédération SUD éducation "

Je n' arrive pas à savoir ce qui est resté en travers de cette virulente apparatchik: les hémorroides, peut-être ?!

Cela étant, nous avons modifié la note originale en supprimant les références à Sud éducation. Si ce syndicat a le temps et les moyens de faire un procés, pas nous. Nous sommes des blogueurs, pas des branleurs …

lenonce et géronte

15 réflexions sur “Lenonce menacé par le syndicat Sud Education !

  1. Hé ben elle est belle la liberté d’expression! Dire la vérité, là se trouve la limite à la liberté de dire aux cons qu’ils le sont…
    Putain, des coups de pied dans le cul se perdent, les amis!

  2. Géronte baisserait-il son pantalon devant Marie Hélène ?
    En tout cas il pourra toujours lui chanter cette petite chanson (après correction)
    A la porte de Géronte, (bis)
    Il y avait une Moyne.
    Ah ! dit le petit Géronte,
    Qu’as-tu, Moyne? Qu’as-tu, Moyne?
    Ah ! dit le petit Géronte,
    Qu’as-tu, Moyne, à gueuler tant ?
    Géronte, je voudrais rentrer, (bis)
    Mais, Géronte, je n’ose.
    Ah ! dit le petit Géronte,
    Entre, Moyne! Entre, Moyne!
    Ah ! dit le petit Géronte,
    Entre, Moyne, et n’gueule pas tant !
    Quand la Moyne fut entrée, (bis)
    Elle gueulait encore.
    Ah ! dit le petit Géronte,
    Géronte, je voudrais manger, (bis)
    Mais, Géronte, je n’ose.
    Ah ! dit le petit Géronte,
    Mange, Moyne! Mange, Moyne!
    Ah ! dit le petit Géronte,
    Quand la Moyne eut mangé, (bis)
    Elle gueulait encore …
    Géronte, je voudrais m’coucher, (bis)
    Mais, Géronte, je n’ose.
    Ah ! dit le petit Géronte,
    Couche-toi, Moyne! Couche-toi, Moyne!
    Ah ! dit le petit Géronte,
    Quand la Moyne fut couchée, (bis)
    Elle gueulait encore …
    Géronte, je voudrais vous baiser, (bis)
    Mais, Géronte, je n’ose.
    Ah ! dit le petit Géronte,
    Baise-moi, Moyne! Baise-moi, Moyne!
    Ah ! dit le petit Géronte,
    Quand la Moyne l’eut baisé, (bis)
    Elle gueulait encore …
    Géronte, j’voudrais recommencer
    Mais, Géronte, je n’ose.
    Ah ! dit le petit Géronte,
    Va au claque ! Va au claque !
    Ah ! dit le petit Géronte,
    Va au claque, et fous-moi le camp !

  3. @ sulfur 2000 : Rien à rajouter….
    @ tous les lecteurs : je crois que j’ai mis le doigt dans la machine à broyer !
    Il est réconfortant de voir que le système de veille syndicale existe bel et bien puisque nous avons été « dénoncés » au tout puissant syndicat « dont on ne doit plus dire le nom sous peine de poursuites ».
    Afin de vous faire une idée par vous même, allez sur le site du syndicat « dont on ne doit plus dire le nom sous peine de poursuites »…sa lecture se passe de tout commentaire mais contribuera à ce que vous ayez un avis éclairé (et non déformé par un blogueur passablement orienté) de ce qu’est réellement le syndicat « dont on ne doit plus dire le nom sous peine de poursuites ».
    Bonne lecture et n’hésitez pas à vous exprimer à ce sujet…

  4. Les syndicalistes sont la pire vérole de la démocratie. Non contents de dicter aux faibles d’esprit ce qu’ils doivent faire ou penser, ils bafouent tous les droits des citoyens : liberté d’expression , droit à l’éducation, droit de travail, etc…
    Pourquoi permettrions-nous à une poignée de branleurs et bons à rien de bloquer l’accès à l’éducation, à l’enseignement, à la sécurité d’un lieu public où les parents aiment savoir leurs enfants durant leur journée de labeur. est-ce normal qu’une poignée de branleurs et branleuses incitent à la débauche de jeunes citoyens influençables et mineurs. Obliger ces jeunes à rester dehors de leur établissement est une incitation explicite à les laisser ignorants, sans éducation, sans éducation civique et surtout dans le désoeuvrement le plus complet. Je suis révolté que de tels agissements de quelques branleurs et branleuses abrutis, confits dans leur crasse syndicaliste n’aimant ni leur travail ni leurs élèves ni la mission pour laquelle ils palpent leur salaire ! Ce sont des êtres malfaisants, inutiles à la société, bons à rien. je souhaite que leur progéniture soit enseignée par des individus de leur acabit pour qu’ils apprécient pleinement le degré de leur infâmie !

  5. Etonnant (ou plutôt pas) de constater que les syndicats qui se targuent de liberté menacent d’attaquer en justice les gens qui s’expriment librement. Les mêmes qui, sans doute, ont applaudi lorsqu’une poupée vaudou, à l’effigie de notre président, a été mise en vente libre; les mêmes qui applaudissent aux bons jeux de mots sur les pancartes des manifestations du style « Fillon, ta réforme mets la toi dans le fion » et bien d’autres.
    Se comporter à la Staline n’a jamais fait avancer la démocratie. Honte à tous ces fachos de tous ordres, qu’ils soient moines ou nonnettes.

  6. Bravo que vous avez dénicher un sujet et oser d#en parler , au détrimant du poltiquement correct. Cette attitude syndicale refléte bien mon opinion sur eux: tous des agitateurs de vent avec un penchant vers l’anarchie, détruire ce qui existe pour imposer son idéologie. Cela n#est ni démocratique, ni respectueux des droit e l’Homme puisque le droit le plus cherement acquis, sur la liberté de s’exprimer, est bafoué.
    Mon opinion est que les syndicats sont une organisation, qui au départ avaiet un objectif noble, ne sont plus rien qu’une secte (je ne cite pas le nom à laquelle je pense – on ne sait jamais – mais si je dis que l’espagne l’a reconnu comme Eglise peut-être cela vous piste pour son nom).
    Bravo et bonne continuation avec ce blog qui ose bien plus que les média.
    Bonne journée

  7. « Cela étant, nous avons modifié la note originale en supprimant les références à Sud éducation. Si ce syndicat a le temps et les moyens de faire un procés, pas nous. Nous sommes des blogueurs, pas des branleurs … »
    Non justement, si au moins vous assumiez les conneries que vous dites régulièrement dans cet urinoir, vous pourriez vous qualifier de blogueurs et pas de branleurs. Mais votre attitude et votre lâcheté récurrente démontre parfaitement que vous êtes des branleurs. Des branleurs qui s’autocensurent et qui se mettent à quatre pattes devant les syndicats ! De vrais Sarkozystes en somme ! Mais quel blog de merde !

  8. @ au sud rien de nouveau : Ce commentaire sent à plein nez son Dr Albert….ce maso qui ne supporte pas notre blog et qui ne peut s’empêcher de le lire. Franchement, prendre plaisir à venir dans un urinoir uniquement pour constater qu’on n’aime pas les urinoirs….mais ça se soigne, vous savez ? Et c’est même pris en charge par la sécurité sociale.
    En principe je ne parle pas aux cons car cela les instruit mais, pour vous, je vais faire une exception.
    Votre intervention est nulle. Votre haine sourd de votre note à l’instar de la débilité des propos tenus. C’est nul….vous êtes nul. Au sud, rien de nouveau ? Si, votre désert intellectuel mâtiné d’une connerie certaine. Je ne vous félicite pas…..

  9. Internet c’est avoir toute la sagesse (Lenonce, Géronte) et toute la BASSESSE du monde (Au sud rien de nouveau) au bout des doigts.

  10. Chapeau bas ! Ce blog rentre dans une autre dimension puisqu’il motive l’intervention d’un syndicat aux ambitions nationales. Conspué pour vos positions vous pourrez désormais être jalousé pour vos adversaires.
    L’occasion m’est donné de vous faire connaître un syndicat qui possède une rare maîtrise de la litote, SUD-Rail :
    « Poser des crochets métalliques pour arracher des caténaires ne nous semble pas une forme d’action judicieuse (…) pour autant on peut s’interroger sur le qualificatif de « terrorisme » qui a d’emblée été utilisé. »
    Benoitement je m’étais plutôt interrogé sur les conséquences de tels crochets sur un tgv lancé à grande vitesse avec 300 personnes à bord ; la perspective de 300 dégats humains collatéraux ne me paraissant pas judicieuse.
    C’était oublier, à ma grande honte, les vertus de la rhétorique et faire peu de cas du choix des mots quand il s’agit de qualifier l’inqualifiable.
    @geronte: un moyen assez fiable de reconnaître la production chiasseuse de notre faisan est de repérer l’irrépressible envie de te boucher le nez à sa lecture.

  11. Des fautes d’accord se sont glissées dans mon post.
    Par esprit sportif, un représentant de SUD-Educ pourrait il les relever ?

  12. Mon petit frère est à Artaud , il a des profs qui l’embrigadent, et j’approuve les réactions de Géronte qui a l’air bien placé pour savoir ce qui s’y passe. Je pourrais même lui fournir des noms, mais ça ne se fait pas apparemment! Peut-être que vous êtes prof vous-même, alors je ne voudrais pas que vous vous sentiez atteint par des assimilations abusives!

  13. @ corto maltese : Merci pour ce témoignage. Je ne suis personnellement pas prof mais j’ai des relations dans le milieu des enseignants. Ce qui est (un peu) réconfortant est que tous les profs ne sont pas des gauchistes à keffieh ayant toujours une banderole prête (la même ?) pour manifester dès qu’une réforme pointe son nez. Ce qui l’est moins est qu’aujourd’hui, en France, dans les lycées ‘laïques’ on peut retrouver, au beau milieu d’une salle de profs, une urne destinée à recueillir des fonds pour aider les lycéens dans leur lutte.
    L’enseignement va mal et je vais me fendre, sous peu, d’un nouvel article traitant de la « victoire » des lycéens par rapport à la réforme DARCOS…

  14. Vous connaissez vraiment des profs qui sont contre la réforme? Vous me rassurez. Et pour la caisse, il fallait la piquer (je parle pour ceux qui auraient eu l’occasion de l’approcher)!

  15. Pardon, j’ai bien évidemment oublié une négation: il fallait lire « des profs qui ne sont pas contre la réforme »!

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