C' est le titre d' un livre sur la violence scolaire, écrit par une enseignante qui, après avoir exercé en France dans les quartiers difficiles, part en Belgique et trouve à sa grande surprise, pire que chez nous. Ah, mais c' est extraordinaire une fois, les écoles de Bruxelles sont plus mal fréquentées que celles de Seine St Denis ! (lire ici)
Ce matin, le journaliste parlant du bouquin expliquait, en se suçant les dents, que c' était justement inexplicable:
" la Belgique n' a pas de banlieues comme chez nous, et puis, et puis, en Belgique, c' est pas pareil, hum, hum, on a l' impression que, hum, hum, l' intégration se passe plutôt bien … "
Nous y voilà ! Il y aurait un lien ( ce n' est pas moi qui le dit mais le journaliste ) entre la violence à l' école et une forte population d' origine étrangère ! Mais où vont-ils pêcher ce genre d' idées ! Bientôt ils diront que c' est à cause de ça que la Flandre veut se débarrasser de la Wallonie. N' importe quoi. Quoique …
Vous êtes allés récemment à Bruxelles ? Non ? Alors lisez cet article, et on en reparle !
lenonce
Mon pauvre LENONCE, hélas, il semblerait qu’existe une forte et directe relation entre la violence dans les écoles, entre élèves et à l’encontre des profs, et la population d’origine africaine (je situe me Maghreb est Afrique, au nord de ce continent). J’ai déjà écrit une Note ou deux sur Bruxelles, où selon les statistiques officielles le premier prénom masculin donné à un bébé y naissant est : Mohamed.
Pour moi la vraie, grande, immense question (jamais abordée, nulle part) est : qui, quand, avec l’accord du peuple à l’occasion de quels votes (la décision étant à fort potentiel d’effets) a décidé de déclencher, faciliter ou admettre l’immigration massive de populations africaines de moeurs totalement différenets des moeurs européennes, qui allaient donc s’intégrér difficilement ou pas du tout ? Je pose la question, tant pour la Belgique que pour la France. Si c’est pour me répondre « on avait besoin d’eux pour faire les boulots que les Gaulois refusaient de faire », ce n’est même pas la peine de commencer à parler, j’ai déjà ouvert ma boîte à bourre-pif.