Certes le fond noir comme pour les drapeaux d’AQMI, Boko-Haram et autres Daech, on y vient, on y vient …
A quand la caligraphie arabe ?
Une saison en enfer
Foudroie l’Abyssinie.
Ô sorcière, ô misère,
Ô haine, ô guerre, voici
Le temps des assassins
Que tu sponsorisas
En livrant tous ces flingues
Au royaume de Choa.
Horreur Harar Arthur,
Ô Bentley, ô châteaux,
Horreur Harar Arthur,
Quelle âme, Arthur est… sans défaut ?
Non, je ne suis pas Charlie. Je déplore, condamne la tuerie d’hommes dont je ne partageais pas les idées, abattus parce qu’ils avaient proféré des opinions qui n’avaient pas l’heur de plaire à ceux que le pouvoir flatte quotidiennement.
Miais ils avaient le droit d’avoir ces opinions et le droit de les dire. Ce n’est pas pour cela que je dois m’associer à un quelconque hommage. Les gens écrasés par le même genre d’individu n’ont pas eu le même traitement, alors qu’ils le méritaient aussi, évacués rapidement au nom d’une folie subite de leurs écraseurs qui avaient juste une voiture pour arme parce qu’ils n’avaient pas su trouver de kalach.
Nous sommes en guerre, et personne dans les politiques et les media ne veut prononcer le mot. Ce sont des victimes de guerre, et ne pas prononcer le mot, c’est commencer à la perdre.
Moi non plus je ne suis pas charlie et à peu de chose près pour des raisons identiques. Cette orgie compassionnelle nous vautre dans l’émotion facile, mais occulte la question de fond : quelle solution au problème d’une république qui ne se fait plus respecter ?
Après les « rebelles à roulettes » voici les charlies con-pastissant.
« Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes » Bossuet
« Ich bin ein berliner » !
Berlin où était le checkpont Charlie …
Hello Papa Tango Charlie…
Et se sentirait moins con le dimanche au Pacific ?
Qui est pour le moins un triangle des Bermudes …
Checkpoint et non pas checkpont !
Sinon ce peut être le cheick qui compte les points …
Certes le fond noir comme pour les drapeaux d’AQMI, Boko-Haram et autres Daech, on y vient, on y vient …
A quand la caligraphie arabe ?
Une saison en enfer
Foudroie l’Abyssinie.
Ô sorcière, ô misère,
Ô haine, ô guerre, voici
Le temps des assassins
Que tu sponsorisas
En livrant tous ces flingues
Au royaume de Choa.
Horreur Harar Arthur,
Ô Bentley, ô châteaux,
Horreur Harar Arthur,
Quelle âme, Arthur est… sans défaut ?
Non, je ne suis pas Charlie. Je déplore, condamne la tuerie d’hommes dont je ne partageais pas les idées, abattus parce qu’ils avaient proféré des opinions qui n’avaient pas l’heur de plaire à ceux que le pouvoir flatte quotidiennement.
Miais ils avaient le droit d’avoir ces opinions et le droit de les dire. Ce n’est pas pour cela que je dois m’associer à un quelconque hommage. Les gens écrasés par le même genre d’individu n’ont pas eu le même traitement, alors qu’ils le méritaient aussi, évacués rapidement au nom d’une folie subite de leurs écraseurs qui avaient juste une voiture pour arme parce qu’ils n’avaient pas su trouver de kalach.
Nous sommes en guerre, et personne dans les politiques et les media ne veut prononcer le mot. Ce sont des victimes de guerre, et ne pas prononcer le mot, c’est commencer à la perdre.
Moi non plus je ne suis pas charlie et à peu de chose près pour des raisons identiques. Cette orgie compassionnelle nous vautre dans l’émotion facile, mais occulte la question de fond : quelle solution au problème d’une république qui ne se fait plus respecter ?
Après les « rebelles à roulettes » voici les charlies con-pastissant.
« Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes » Bossuet
« Ich bin ein berliner » !
Berlin où était le checkpont Charlie …
Hello Papa Tango Charlie…
Et se sentirait moins con le dimanche au Pacific ?
Qui est pour le moins un triangle des Bermudes …
Checkpoint et non pas checkpont !
Sinon ce peut être le cheick qui compte les points …