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La chasse aux sorcières de VAL commence deux heures après sa prise de fonction.

Ca n'a pas trainé. Deux heures après son arrivée à France Inter VAL prend sa première décision. Il dégomme un journaliste de la maison, une certain Frédéric POMMIER. 

Que reproche le petit teigneux au teint bistre à ce journaliste ? Officiellement de n'être pas très bon dans sa revue de presse. En vérité, d'après de nombreuses sources, d'avoir cité plus volontiers Siné Hebdo que Charlie Hebdo. En effet, il y a quelques mois, bien avant que l'on puisse imaginer qu'un VAL puisse diriger la maison, il s'était accroché avec Frédéric POMMIER à ce sujet. N'oublions pas que VAL est le plus gros actionnaire de Charlie Hebdo. On ne plaisante pas avec le fric…parole de capitaliste ! VAL vient de se venger.

Ce qu'il y a d'extraordinaire c'est que VAL est arrivé, en très peu de temps, à se mettre quasiment tous les syndicats à dos. Voir leur site.

Deux heures pour mettre la merde ? Record absolu. Bravo l'artiste.

Géronte

Et rien que pour le plaisir…

Ce pompeur de VAL 

C'est un trou rouge où beugle l'intelligentsia
Accrochant débilement aux masses des idées
à la con; où le politiquement correct luit;
C'est un petit VAL qui suce les fions.

Un imposteur bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans la fange, heureux,
Lèche; il est étendu devant l’orifice, sous la nue,
Pale dans son lit merdoyant où l’invective pleut.

Les pieds dans la merde, il lèche. Souriant comme
Sourirait un cocu malade, il fait un somme:
Nature, lèche-le chaudement: il a froid.

Les remugles ne font plus frissonner sa narine;
Il lèche dans le soleil, la main sur sa pine
Tranquille. Il y a un nouveau trou du cul du coté droit

 

7 réflexions sur “La chasse aux sorcières de VAL commence deux heures après sa prise de fonction.

  1. Obscur et froncé comme un oeillet violet
    Il respire, humblement tapi parmi la mousse
    Humide encor d’amour qui suit la pente douce
    Des fesses blanches jusqu’au bord de son ourlet.
    Des filaments pareils à des larmes de lait
    Ont pleuré, sous l’autan cruel qui les repousse,
    À travers de petits caillots de marne rousse,
    Pour s’en aller où la pente les appelait.
    Ma bouche s’accoupla souvent à sa ventouse ;
    Mon âme, du coït matériel jalouse,
    En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
    C’est l’olive pâmée, et la flûte caline ;
    C’est le tube où descend la céleste praline :
    Chanaan féminin dans les moiteurs éclos !
    Paul Verlaine

  2. Caritate libertine : votre deuxième vers est boîteux ! À moins de considérer comme aspiré le h d’humblement, ce qui me surprend un peu.
    (Cela dit, dans le domaine de la métrique, le taulier fait bien pis que vous, mais chut !…)

  3. @Didier Goux : C’est corrigé, j’ai remis de l’ordre dans le Pommier. Merci pour votre lecture attentive…sur nos billets. Caritate appréciera également le fait que vous ayez noté qu’il y avait une certaine…aspiration dans ces beaux vers.

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