Pour les amateurs de "Sur l’ album de la comtesse" du canard enchaîné, voici un petit texte que m’ a livré Géronte sur le déplacement de notre toujours aussi blanche godiche.
A l’idée de voir la Chine de MAO, Ségolène était envahie par une étrange pâleur. La fière Chine de Mao méritait bien que Ségolène lui tende la patte. Elle a pu constater ainsi le poids de la Chine mais a dit à Montebourg, qui avait mal préparé le voyage : "Tu m’a trompé avec ta Chine".